A quoi ressemblent des conflits d’intérêt ? Cela dépend si c’est ceux de Mandelblit ou ceux de Netaniahou…

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Un nouveau chapitre désolant dans l’histoire moderne d’Israël ! Mandelblit, qui est plongé dans une salade sans non d’intérêt et de menaces dont lui-même a témoigné de la gravité et de l’impact qu’ils ont sur lui, vient limiter Netaniahou dans ses décisions pour cause de conflits d’intérêt… Le juge Rosen a rejeté une pétition motivée contre Mandelblit et a décidé qu’il pouvait siéger en tant que président du comité de localisation du prochain procureur…

Suite à la plainte déposée auprès du juge David Rosen contre le procureur général par crainte d’un conflit d’intérêts aigu entre le procureur général et le prochain procureur de l’État à la lumière de l’affaire ouverte dans l’affaire Mandelblit-Ashkenazi qui n’a pas été close, et après que Mandelblit ait été entendu dans ce qu’il disait en un enregistrement avec Efi Naveh, il parle de son désir que l’affaire soit close par le procureur Nitzan.

Ce soir (mardi), la décision du juge Rosen de rejeter la plainte est publiée et déclare qu’il n’y a pas de conflit d’intérêts pour Mandelblit qui préside le comité de sélection du procureur général, lequel jouera un rôle essentiel pour déterminer l’identité du prochain procureur, autrement dit, la personne qui viendra dégager Mandelblit du problème dans lequel il est plongé.

Le commissaire Rosen a rejeté la plainte, déclarant que « compte tenu de la déclaration expresse du Dr Mandelblit selon laquelle il n’a pas l’intention de renvoyer l’affaire au prochain procureur, la crainte dudit conflit d’intérêts est éliminée. Par conséquent, je n’ai trouvé aucun obstacle à ce que le Dr Mandelblit préside le comité de recherche du procureur de l’État ».

Pendant ce temps, alors que Mandelblit n’est pas en conflit d’intérêts selon l’opinion de Rosen, Mandelblit a présenté sa réponse à la Haute Cour sur le dossier concernant les limitations qu’il veut imposer au Premier ministre dans le domaine de la nomination de hauts fonctionnaires préposés à la justice et aux enquêtes, sous le prétexte qu’il souffre de conflits d’intérêt…

Mandelblit fait savoir qu’il ne s’agit pas d’un « avis » de sa part, mais d’une prise de position juridique, qui implique toutes les branches de l’exécutif et reflète pour eux la loi existante, similaire à son avis juridique sur d’autres questions, et n’est pas simplement une recommandation.

Malgré l’opposition du Premier ministre au règlement abusif des affaires, Mandelblit précise que l’avis ne dépend pas de la bonne volonté du titulaire, pour des raisons de visibilité ou d’autres raisons volontaires, mais est obligatoire en vertu de l’interprétation de la loi par le conseiller juridique du gouvernement.

Dans une déclaration complémentaire, Mandelblit a également menacé que tant que le Premier ministre insiste sur le fait qu’il n’a pas l’intention d’agir conformément à cet arrangement, la Haute Cour doit continuer à clarifier les pétitions, notamment en émettant des ordonnances conditionnelles à cet égard.

Un régime tyranique d’un genre nouveau, on vous l’a déjà dit !

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