Un rapport des services de renseignement allemands récemment publié par l’Etat de Bavière a conclu que la république islamique d’Iran travaille à transformer ses armes militaires conventionnelles en un système d’armes de destruction massive.
« L’Iran, la Corée du Nord, la Syrie et le Pakistan font des efforts pour étendre leur arsenal d’armes conventionnelles grâce à la production d’armes de destruction massive », a écrit l’agence de renseignement bavaroise en avril 2018. Le Jérusalem Post a analysé le rapport de 312 pages de l’agence de renseignement basée à Munich, l’équivalent approximativement de l’agence israélienne de sécurité Shin Bet.
Le rapport bavarois définit les activités de prolifération et d’armes de destruction massive comme « la propagation illégale d’armes atomiques, biologiques et chimiques et la production de leurs produits applicables. »
Les nouvelles preuves provenant des services de renseignement bavarois fourniront de nouvelles munitions aux détracteurs de l’échec de l’accord nucléaire iranien visant à contrer le désir de Téhéran de construire un programme d’armement nucléaire.
La chancelière allemande Angela Merkel reste une fervente partisane de l’accord nucléaire iranien et estime que l’accord empêchera Téhéran d’obtenir une bombe nucléaire. Elle n’a pas commenté les conclusions de ses agences de renseignement qui semblent contredire ses vues sur l’efficacité de l’accord nucléaire.
L’agence de renseignement bavaroise a déclaré que l’Iran cherchait des pièces de construction et le savoir-faire nécessaire en Allemagne et dans d’autres pays technologiquement hautement développés pour développer son programme illicite d’armes de destruction massive. Les agences de renseignement allemandes ont documenté les efforts du régime iranien en 2017 pour acheter du matériel et de la technologie illégale auprès d’entreprises allemandes.
L’accord nucléaire iranien a été conclu entre la dictature islamique d’Iran et les « puissances mondiales » en 2015.
Source www.juif.org
Une coquille amusante, mais plus que déplacée, a fait que nous parlions de « la république islamique d’Israël ». C’était plus qu’une erreur…
Nous présentons nos plus plates excuses.