Le 11 septembre prochain devrait avoir lieu un match de football amical entre les équipes d’Israël et d’Irlande du Nord à Belfast, en Irlande. A l’instar du match amical entre Israël et l’Argentine qui devait se dérouler à Jérusalem le 6 juin dernier mais qui a été annulé sous la pression palestinienne et les menaces envoyées directement à Lionel Messi, le terrorisme palestinien a bien l’intention de frapper encore….
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Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) qui espèrent bien encore annuler ce match entre Israël et l’Irlande du Nord, a lancé une campagne de boycott virulente lardée de mensonges et de haines comme la fabrication et la diffusion de photos montages de l’équipe de joueurs de foot de l’Autorité Palestinienne avec des joueurs manquants suggérant qu’ils avaient disparu depuis « les manifestations pacifiques contre Israël à la frontière de Gaza » ou encore de joueurs professionnels sans bras ou sans jambe alléguant qu’ils les avaient perdus lors des mêmes émeutes.
Les groupes BDS rappelle également que le match prévu entre l’Argentine et Israël avait été annulé en signe de solidarité avec la cause palestinienne et suggère que l’Irlande en fasse de même. En outre, pour alimenter cette nouvelle campagne de boycott BDS n’hésite pas à écrire et à propager des calomnies dans le genre « Israël kidnappe les enfants palestiniens dans des raids nocturnes effrayants » ou encore »Israël massacre les Palestiniens sans raison ni discrimination ».
« Israël instrumentalise des événements sportifs internationaux pour améliorer son image entachée, alors qu’en réalité, Israël est de plus en plus isolé », lit-on encore sur le site de BDS.
BDS devrait comme il l’a fait pour le match prévu contre l’Argentine envoyer très prochainement des messages aux joueurs et aux membres de leurs familles: des menaces explicites, des photos et des vidéos de corps d’enfants mutilés. C’est dire si le terrorisme palestinien, qui ose accuser une récupération politique d’Israël dans cette nouvelle rencontre sportive amicale, est capable du pire.
