Belz inscrit chez les Sefarades ?

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Cela devient amusant : la ‘hassidouth Belz pose actuellement problème dans l’enceinte des regroupements qui se présentent sous le fanion « orthodoxes-achkenazes » aux élections locales.

Photo : le rabbi de Belz (Shutterstock)

Ces dernières années, ils se sont regroupés sous la dénomination « Agoudath Israël-Déguel haTora », après que rav Schakh zatsal ait décidé en son temps de créer un parti composé uniquement des « Lituaniens », sous le nom de Déguel haTora.

Cette fois-ci, un problème s’est posé : l’un des sous-groupes de l’Agoudath Israël veut, pour une raison ou pour une autre, réunir ses écoles dans une nouvelle formule, tout en restant sous la bannière du ‘Hinoukh ‘Atsmaï. Cette formule a été acceptée par le ministère de l’Education Nationale, mais refusée par… le rav Guershon Edelstein, roch Yechivath Ponievezh, qui y voit un grand danger pour la qualité de l’éducation livrée dans cette structure, et rejette une telle association. Belz – dehors !

Que fait-on ? L’idée suivie maintenant consiste à prendre place dans un autre cadre, et c’est celui du parti Shass, nommé « Bené Yossef », qui est à présent envisagé !

Si les négociations entre cette ‘hassidouth et le parti Shass sefarade arrivent à bon terme, et que Belz reçoive par leur intermédiaire les budgets nécessaires qu’ils ont tenté d’obtenir grâce au nouveau programme du ministère de l’Éducation, les deux camps du judaïsme de la Tora hormis Belz estiment que le débat sur la liste pour la Knesset sera bientôt résolu lorsque Yits’hak Goldknopf sera à la tête, et le député Moshe Gafni sera deuxième mais recevra le premier poste.

Cependant, il reste plusieurs problèmes. Premièrement, il y a un problème juridique avec l’ajout même à « Bené Yossef », puisque l’année scolaire a déjà commencé. De plus, les ‘hassidim sont également intéressés par le maintien de l’indépendance au sein du réseau, en particulier parce qu’ils veulent s’assurer que si telle ou telle école n’est plus suffisamment remplie, elle restera malgré cela sous la gestion et la propriété de leurs institutions, et ne passent pas à d’autres groupes…

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