Espion pendant près de 30 ans, Polard reste un homme dangereux…

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C’est ce que les services secrets américains ont répondu aux avocats de l’ancien espion israélien, Yonathan Polard, lorsque ceux-ci ont demandé au tribunal fédéral de Manhattan de lever les mesures de restriction qui pèse toujours sur le prévenu depuis sa libération conditionnelle.

D’après la responsable de l’information aux services des renseignements nationaux, Jennifer Hudson, il est nécessaire d’empêcher toute fuite d’informations qui, si elles étaient divulguées, pourraient permettre à nos adversaires de prendre des mesures préventives pour neutraliser l’efficacité de certaines personnes. «Même si ces sources humaines ne sont pas identifiables par leur nom, les détails décrivant leurs origines et leur nature peuvent permettre d’en révéler l’identité qui se limite à un nombre limité de personnes ayant eu accès à telle ou telle information particulière, a-t-elle dit avant d’ajouter qu’il est par ailleurs possible que ces  « sources » souffrent de la découverte d’une relation secrète avec le gouvernement des États-Unis, ce qui pourrait gravement porter atteinte aux sources en question, ainsi qu’à leur famille ou à leurs partenaires, même dans le cas où l’informateur ne serait plus vivant, la divulgation de certaines informations pourrait compromettre la vie des gens avec lesquels il était en contact. »

 

1 Commentaire

  1. N’importe quoi pour le maintenir condamné.
    Des criminels de vrais assassins ont été libérés et pas lui. C’est de l’antisémitisme pur qui se cache là.

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