La géniale idée de Macron : lever les sanctions contre l’Iran

La géniale idée de Macron : lever les sanctions contre l’Iran

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French President Emmanuel Macron briefs reporters at King Abdulaziz International Airport in Saudi Arabia's Red Sea coastal city of Jeddah on December 4, 2021. (Photo by Thomas SAMSON / AFP)

Après s’être distingué sur l’Ukraine en déclarant ne pas vouloir humilier la Russie, Macron récidive en voulant lever les sanctions sur l’Iran et accentuer les dangers au Moyen-Orient, en redonnant des moyens importants au parrain du terrorisme international.

Ce président empêtré à la tête d’un pays qu’il n’arrive plus à gouverner, après avoir détruit le système politique national, continue avec des idées farfelues, à vouloir régenter le monde. Non seulement il n’a rien vu venir en France, en Ukraine, et au Moyen-Orient entre autres, il veut à présent donner à l’Iran tous les moyens financiers pour développer l’arme atomique, qu’il n’a pas pu freiner, et lui permettre d’alimenter les groupes terroristes de la région (Hamas, Hezbollah, Houthis) qui déstabilisent le continent.

À aucun moment, il n’est capable de se remettre en question. Il s’est persuadé d’être un génie bien qu’il ait endetté son pays, laissé entrer des centaines de milliers d’immigrés alors que toutes les structures de l’Etat sont littéralement à l’agonie (hôpital, justice, police, école, etc., etc.). Son bilan économique étant calamiteux, il y ajoute un bilan social, et politique similaire. Voilà qu’il veut maintenant influer sur la politique internationale alors qu’il devrait corriger rapidement sa gestion nationale avant que n’éclate une révolution.

Prix du pétrole : la France plaide pour un retour de l’Iran et du Venezuela sur le marché

Face à l’envolée des prix à la pompe, la France a appelé ce lundi les pays producteurs de pétrole à augmenter leur production de « manière exceptionnelle ». Elle a plaidé par ailleurs pour une « diversification des approvisionnements » vers l’Iran et le Venezuela.

Qui pour remplacer la Russie alors que les cours du brut sont au plus haut à cause de la guerre en Ukraine ? Deux pays membres de l’Opep, l’Iran et le Venezuela, mis au ban de la communauté internationale, pourraient bien revenir sur le devant de la scène. C’est en tout cas le vœu formé par la présidence française ce lundi en marge du sommet du G7 à Elmau en Allemagne.

La France a en effet appelé les pays producteurs de pétrole à augmenter leur production de « manière exceptionnelle », mais a aussi plaidé pour une « diversification des approvisionnements » vers l’Iran et le Venezuela, soumis à des sanctions américaines, pour freiner l’envolée des prix à la pompe.

« Un nœud à dénouer »

« Nous avons besoin que les pays producteurs produisent davantage de manière exceptionnelle », le temps de passer le cap de la crise, « l’objectif de la neutralité carbone restant clairement réaffirmé », a-t-elle déclaré. Le président américain Joe Biden doit en discuter lors de sa visite en Arabie saoudite en juillet et son homologue français Emmanuel Macron est aussi « en contact » avec le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, ainsi que le nouveau président des Émirats arabes unis, Mohammed ben Zayed, a relevé l’Elysée.

« Il y a des ressources ailleurs qu’il faut aller explorer aussi », a poursuivi la présidence française. « La négociation sur le dossier nucléaire iranien est aujourd’hui bouclée en ce qui concerne le nucléaire, mais ne l’est pas en ce qui concerne la relation entre l’Iran et les États-Unis sur une question spécifique, les sanctions américaines liées au terrorisme », a-t-elle dit. « Donc il y a un nœud à dénouer le cas échéant » afin que le pétrole iranien puisse être « remis sur les marchés », a-t-elle souligné. « Le pétrole vénézuélien doit aussi pouvoir être remis sur le marché », a poursuivi l’Élysée.

La France est par ailleurs favorable à la proposition américaine de plafonnement des prix du pétrole (« price cap ») mais juge nécessaire de l’élargir au gaz et à tous les acteurs du marché. « Le principe d’un ‘price cap’ est acceptable, il peut être soutenu, mais son mode d’emploi est assez incertain. Il faut qu’il soit le plus large possible », a estimé la présidence française, en appelant à des « discussions approfondies ».

JForum.Fr TF1

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