Le député de Shass Arbel : « Un député arabe m’a dit : on voit des miracles à la Knesseth ! »

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Non, la vie politique en Israël ne cesse pas un instant (avant les vacances de la Knesset pour jusqu’à après Pessa’h), et elle est fort surprenante. Le député de Shass, Moché Arbel, rapporte une remarque surprenante émanant d’un député arabe…

Radio Kol ‘Hay – Esti Peled

Le député Moché Arbel dans une conversation avec Kol ‘Hay: « Hier, un membre de la Knesset de la liste commune arabe qui n’est pas juif m’a approché et m’a dit : ‘Regardez, nous avons réussi dans la loi sur le recrutement, dans la loi du rabbinat, dans la loi des allègements des impôt urbains concernant les maisons de prière – il m’a dit, ‘Je vous dis qu’il y a ici une Main Qui dirige tout cela d’en Haut.’ Sa vision des choses m’a profondément ému. »

Le député Moché Arbel s’est entretenu avec Avi Mimran dans l’édition principale et a d’abord évoqué la chute de la loi qui était destinée à changer la composition du comité préposé au choix des Grands rabbins (qui devait, évidemment, permettre d’introduire des « Grands rabbins » non orthodoxes, et ouvrir la porte à grand nombre de changements redoutables sur la vie juive dans le pays) : « Nous voyons tout de suite l’aide divine. »

Arbel a également évoqué l’adoption de la loi d’exonération fiscale pour les synagogues et les mosquées : « Un travail parlementaire sophistiqué a été déployé dans les coulisses. Entre autres choses, nous avons demandé au député Suleiman de se joindre au projet de loi, ils savaient que s’ils s’opposaient à cette loi, cela coûterait cher au public arabe. C’est une loi importante et significative, même si c’est dans un ordre temporaire. La période du corona a causé de grandes difficultés à recueillir des dons pour les synagogues et les mosquées. « 

Arbel a parlé de ses efforts pour établir un dialogue à la Knesset : « J’essaie de trouver les éléments communs positifs autant que possible et de promouvoir les choses au nom desquelles nous avons été envoyés à la Knesset. Ce n’est pas facile. Le discours aujourd’hui est toxique et très difficile, il y a de l’hostilité. »

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