L’échec des anarchistes à Bené Brak

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Du sang, de la violence, une réaction déséquilibrée de la part des orthodoxes – telles sont les images que les destructeurs de gauche recherchaient à Bené Brak, et à partir desquelles poursuivre la destruction de la société qui, depuis plus d’une décennie, ose ne pas leur accorder la majorité aux élections. Cela n’a pas marché.

JDN

Je n’ai pas eu place dans les réunions où les stratèges de la protestation contre l’anarchie planifient leurs pas, que D’ en soit loué. Et dans tous les cas, à partir des actions et de la forme que prend la protestation, il est possible d’en apprendre davantage sur les objectifs qui sont les leurs – et ils sont particulièrement inquiétants. En les connaissant, nous pouvons saboter les plans destructeurs de ces opposants à la Volonté divine.

Il est difficile de ne pas remarquer la gestion calculée de la protestation contre le gouvernement – organisation ordonnée de manifestations, matériel de propagande et messages clairs, contrôle des gadgets qui maintiendront la protestation dans les gros titres et aggravation progressive de la radicalisation dans les actions. Semaine après semaine, les meneurs de la contestation se radicalisent, chaque fois que l’opinion publique israélienne digère le nouvel extrémisme, les manifestants franchissent à nouveau la ligne rouge.

Les auteurs de la destruction savent très bien que si au début de la protestation ils avaient visé par leurs actions à détruire l’économie et la sécurité, ils auraient également perdu le soutien dans leur camp. Lentement, sans éveiller le dégoût des gens, 12 semaines après le début de la contestation et déjà après avoir dissous tout ce qui était considéré comme « sacré » dans l’opinion publique israélienne, les auteurs de la destruction aiguisent leur objectif final : la violence entre les citoyens.

Depuis l’action ratée du président Yits’hak Herzog, dans laquelle il a enterré la dernière option de compromis et d’accords, les dirigeants de l’anarchie sont passés à l’étape la plus alarmante de leur plan destructeur – une guerre fratricide. Cela a commencé avec les manifestations de la semaine dernière, lorsque les porte-parole de l’anarchie – les médias du grand public en Israël – ont commencé à amplifier chaque incident violent et marginal en le plaçant en haut des gros titres, dans le but de créer une atmosphère négative.

La création de la peur et le sentiment que « la droite nous frappe, nous devons nous défendre », est utilisée par les auteurs de destruction dans les deux sens, en faisant d’une pierre deux coups – elle réveille les extrémistes du camp de droite leur montrant que le temps des actions violentes est venu, et quand ils agissent violemment, les épées de « défense » des manifestants de gauche seront aiguisées par peur pour leur vie, à D’ ne plaise.

Après que la semaine dernière les leaders de la contestation aient réussi à « réaliser » plusieurs événements violents en marge des manifestations, les stratèges ont réfléchi à la manière de produire l’image souhaitée : la violence de masse entre citoyens. Une manifestation à Bené Brak. Les meneurs du complot destructeur étaient convaincus qu’elle engendra la violence attendue.

Mais si jusqu’à aujourd’hui tout était calculé, les stratèges ont échoué dans leur réflexion principalement du fait de leur arrogance antisémite. Pendant un moment, ils se sont embrouillés entre la réalité et les histoires du secteur orthodoxe, qui réalisent tout avec violence et se comportent comme les personnages extrémistes que les médias dépeignent.

Leur chute était aussi dans le choix de l’emplacement. Bené Brak est la bonne adresse pour trouver des personnes capables de faire preuve d’indifférence envers ces manifestants qui cherchent à évacuer leur colère. Les Bené Brakiens ont su se retenir et se présenter comme des gens aimables et accueillants.

Du sang, de la violence, des ‘Harédim déséquilibrés. Ce sont les images que les créateurs de destruction de gauche voulaient voir, et montrer au public. A partir de ces images, ils espéraient poursuivre la destruction de la société qui a osé pendant plus d’une décennie ne pas leur donner la majorité aux élections. Mais le public à Bené Brak a su faire preuve de retenue et de compassion envers ces manifestants dont les actions visent à détruire la structure sociale créée ici, et ce qui s’est passé dans cette ville dessert de manière extraordinaire le travail que nous nous devons de mener, à tout prix.

Chapeau aux gens de Bené Brak !

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