Les dirigeants d’hôpitaux critiquent : la conduite des ministères de la Santé et des Finances responsable d’une partie des décès actuels

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Lors d’une discussion au sein de la commission de la santé de la Knesset, les administrateurs d’hôpitaux israéliens ont vivement critiqué la politique du gouvernement : « Le monde se moque de nous, comment nous nous sommes retrouvés dans cette situation, les patients paient de leur vie la conduite des ministères de la Santé et des Finances ! »

Lors d’une discussion de la commission de la santé de la Knesset qui s’est tenue aujourd’hui (mardi) sur la question du calcul entre les hôpitaux et les fonds de santé, les administrateurs des hôpitaux ont vivement exprimé leur opposition à la conduite des ministères des Finances et de la Santé.

Le directeur général de l’hôpital Rambam, le Dr Mickey Halbertl, a déclaré lors de l’audience : « En ce moment, les patients et les soignants paient de leur vie le comportement du ministère de la Santé. Nous sommes dans une grande incertitude. Le fait qu’ils aient présenté quelque chose au Trésor qui n’est pas pertinent n’aide pas. Qu’ils disent qu’il y a eu des contacts à ce propos est terrible à mes yeux, car c’est faux. Que l’on puisse jouer avec la vie des citoyens est pour moi dramatique. Les gens perdent leur vie du fait de telles conduites. »

Le directeur de l’hôpital Shaare Zedek, le professeur Ofer Marin, a continué d’attaquer les ministères des Finances et de la Santé lors de l’audience, déclarant : « Il y a un grand écart entre la cinquième vague de ce qui est présenté dans les médias et la réalité dans tous les hôpitaux. »

Le professeur Fahad Hacham, directeur de l’hôpital anglais de Nazareth, a déclaré lors de l’audience: « Nos forces se font tirer dessus. Vous nous enterrez dans ce cimetière. Y a-t-il un soldat dans la région à qui on dit combien de balles il peut tirer. Vous nous imposez des plafonds qui déterminent notre déficit. Au ministère des Finances, on nous dit : ‘Cherchez des fonds de l’étranger’. Nous allons vers une chute – nous ne pouvons pas regarder nos employés dans les yeux. Nos chiffres sont les plus élevés au monde. Ils m’appellent de l’étranger. Ils se moquent de nous depuis le monde entier : ‘Comment t’es-tu retrouvé dans une telle situation ?' »

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