L’Iran a payé au Jihad des millions de dollars pour chaque jour de combat

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Tensions sécuritaires : Hier soir (samedi soir), l’opération « Bouclier et Flèche » de l’establishment sécuritaire contre l’organisation du Jihad islamique dans la bande de Gaza a pris fin, après cinq jours. Malgré l’annonce d’un cessez-le-feu, ce soir une autre roquette a été lancée vers l’enclave, une roquette qui par la grâce du Ciel a atterri en terrain découvert sans faire de victimes ni de dégâts. News 12 a rapporté ce qui se cache derrière l’intérêt du Jihad à alimenter les tensions.

JDN

Selon le rapport, l’Iran est celui qui alimente les tensions sécuritaires. Après qu’Israël ait tué les trois hauts responsables du Jihad islamique au début de l’opération militaire, le régime des ayatollahs en Iran a exercé une forte pression sur le Jihad pour qu’il réponde en tirant des roquettes sur Israël. Après le début de l’opération, le Jihad  a été surpris de découvrir le la force de la réponse israélienne, alors que de plus en plus de ses hauts responsables ont été éliminés par l’armée de l’air.

À un moment donné, le Jihad a demandé à parvenir à un cessez-le-feu avec Israël, lorsque les responsables de la sécurité ont même informé que les terroristes « imploraient » l’Égypte de parvenir à un cessez-le-feu. Cependant, selon le rapport de ce soir, l’Iran a fait pression sur le Jihad pour qu’il poursuive les combats – notamment au moyen d’une récompense monétaire « adéquate » en faveur de l’organisation terrorisme à Gaza. Il s’avère que l’Iran a payé au Jihad cinq millions de dollars pour chaque jour où les combats se sont poursuivis.

Dans le même temps, Israël se prépare pour la « Journée de Jérusalem » et la « Défilé du drapeau » qui auront lieu ce jeudi, lorsque chaque année, ce jour-là, les organisations terroristes lancent leurs activités terroristes, notamment en tirant des roquettes sur la capitale. Cette année, l’establishment de la sécurité estime que l’événement se passera relativement tranquillement après le récent choc dans la bande de Gaza à la suite de la réaction israélienne, mais ils ne sont pas pressés de le déclarer et font très attention à ce qui risque de se passer.

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