Pressions à droite et à gauche pour des alliances

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Les sondages de la fin de semaine ont montré que des partis de droite comme de gauche sont sur le fil et risquent de ne pas entrer à la Knesset, ce qui pourrait changer radicalement la donne concernant les deux grands blocs.

A droite, c’est le Premier ministre lui-même qui comme lors des campagnes précédentes appuie sur l’accélérateur pour pousser à une union entre tous les partis situés à la droite du Likoud, sans exception. En-dehors des « encouragements » en coulisses, Binyamin Netanyahou a fait une courte déclaration disant: « La droite ne pardonnera pas à Benett, Smotritch et Peretz s’ils ne se présentent pas en bloc unique. Les deux listes risquent de ne pas franchir le seuil d’éligibilité ce qui amènerait la gauche au pouvoir ».

Pour l’instant Betzalel Smotritch, toujours vexé dans son amour-propre, n’a pas indiqué dans quelle direction il va. Par ailleurs le dilemme est grand pour la Nouvelle Droite quant à une union avec les partis sionistes religieux, les uns et les autres s’adressant à des électorats différents. Au parti de Naftali Benett et Ayelet Shaked on « rend hommage au souci d’union de Binyamin Netanyahou » mais on rappelle que seule une Nouvelle Droite se présentant séparément est capable de prendre des voix aux électorats de Bleu-Blanc et Israël Beiteinou.

Dans ce domaine, une initiative citoyenne a été lancée sous le nom de « Notre force est dans notre union ». Son but est de récolter un grand nombre de signatures (10.000) dans les différents courants du sionisme-religieux afin de forcer tous les leader politiques et rabbiniques à aller vers une union générale avec primaires ouvertes.

Source lphinfo.com

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