Le rapprochement entre les factions palestiniennes

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Nous voici donc, le lendemain de Souccoth, confrontés à une « paix » intérieure entre les deux factions palestiniennes. Et avec une grande question : est-ce bon pour les Juifs, ou non ? Et une réponse claire : l’avenir nous le dira…

Pourquoi une telle démarche ? Semble-t-il, la nouvelle direction du ‘Hamas est plus pragmatique que la précédente : la situation dans la Bande de Gaza est explosive, car la direction du ‘Hamas, sans légitimité aucune (bien qu’à ce niveau-là, Abou Mazen ne se présente pas non plus devant les urnes…), donne la préférence à un armement intensif, quitte à plonger ses citoyens dans l’indigence et le désespoir. Le but essentiel : s’armer contre Israël. A un certain moment, le ‘Hamass prend le risque d’une révolte contre lui, même si une telle démarche risque de se terminer dans le sang, d’une manière dont seuls les musulmans sont capables d’agir. Mais le risque est là. Deuxième point : les Etats Unis font pression pour qu’une réconciliation soit tentée, et l’Egypte est derrière cette politique également, le tout faisant que les Palestiniens voient qu’ils n’ont plus le choix, si ce n’est de jouer une telle carte.

Ceci, à un moment où, bizarrement, plusieurs pays européens menacent de cesser d’aider les Palestiniens du fait d’argent qu’ils ont donnés et qui passent à la construction d’une école au nom d’une ancienne terroriste… C’est nouveau, mais voici : ces gouvernements sont gênés par une telle affectation.

Mais en fait, est-ce que le ‘Hamas est capable d’abandonner sa voie belliqueuse ? Difficile à savoir, puisqu’en plus, ce sujet n’a pas été abordé lors des concertations entre les deux intéressés…

Ainsi, le présent chapitre semble plutôt une mascarade qu’autre chose. Car, même si l’oncle Sam, nommé de nos jours Donald Trump, présente des exigences, réagir d’une telle manière, sans résoudre ce sujet oh combien central, cela n’est pas sérieux.

Le rapprochement entre les factions palestiniennes

Nous voici donc, le lendemain de Souccoth, confrontés à une « paix » intérieure entre les deux factions palestiniennes. Et avec une grande question : est-ce bon pour les Juifs, ou non ? Et une réponse claire : l’avenir nous le dira…

Pourquoi une telle démarche ? Semble-t-il, la nouvelle direction du ‘Hamas est plus pragmatique que la précédente : la situation dans la Bande de Gaza est explosive, car la direction du ‘Hamas, sans légitimité aucune (bien qu’à ce niveau-là, Abou Mazen ne se présente pas non plus devant les urnes…), donne la préférence à un armement intensif, quitte à plonger ses citoyens dans l’indigence et le désespoir. Le but essentiel : s’armer contre Israël. A un certain moment, le ‘Hamass prend le risque d’une révolte contre lui, même si une telle démarche risque de se terminer dans le sang, d’une manière dont seuls les musulmans sont capables d’agir. Mais le risque est là. Deuxième point : les Etats Unis font pression pour qu’une réconciliation soit tentée, et l’Egypte est derrière cette politique également, le tout faisant que les Palestiniens voient qu’ils n’ont plus le choix, si ce n’est de jouer une telle carte.

Ceci, à un moment où, bizarrement, plusieurs pays européens menacent de cesser d’aider les Palestiniens du fait d’argent qu’ils ont donnés et qui passent à la construction d’une école au nom d’une ancienne terroriste… C’est nouveau, mais voici : ces gouvernements sont gênés par une telle affectation.

Mais en fait, est-ce que le ‘Hamas est capable d’abandonner sa voie belliqueuse ? Difficile à savoir, puisqu’en plus, ce sujet n’a pas été abordé lors des concertations entre les deux intéressés…

Ainsi, le présent chapitre semble plutôt une mascarade qu’autre chose. Car, même si l’oncle Sam, nommé de nos jours Donald Trump, présente des exigences, réagir d’une telle manière, sans résoudre ce sujet oh combien central, cela n’est pas sérieux.

Le rapprochement entre les factions palestiniennes

Nous voici donc, le lendemain de Souccoth, confrontés à une « paix » intérieure entre les deux factions palestiniennes. Et avec une grande question : est-ce bon pour les Juifs, ou non ? Et une réponse claire : l’avenir nous le dira…

Pourquoi une telle démarche ? Semble-t-il, la nouvelle direction du ‘Hamas est plus pragmatique que la précédente : la situation dans la Bande de Gaza est explosive, car la direction du ‘Hamas, sans légitimité aucune (bien qu’à ce niveau-là, Abou Mazen ne se présente pas non plus devant les urnes…), donne la préférence à un armement intensif, quitte à plonger ses citoyens dans l’indigence et le désespoir. Le but essentiel : s’armer contre Israël. A un certain moment, le ‘Hamass prend le risque d’une révolte contre lui, même si une telle démarche risque de se terminer dans le sang, d’une manière dont seuls les musulmans sont capables d’agir. Mais le risque est là. Deuxième point : les Etats Unis font pression pour qu’une réconciliation soit tentée, et l’Egypte est derrière cette politique également, le tout faisant que les Palestiniens voient qu’ils n’ont plus le choix, si ce n’est de jouer une telle carte.

Ceci, à un moment où, bizarrement, plusieurs pays européens menacent de cesser d’aider les Palestiniens du fait d’argent qu’ils ont donnés et qui passent à la construction d’une école au nom d’une ancienne terroriste… C’est nouveau, mais voici : ces gouvernements sont gênés par une telle affectation.

Mais en fait, est-ce que le ‘Hamas est capable d’abandonner sa voie belliqueuse ? Difficile à savoir, puisqu’en plus, ce sujet n’a pas été abordé lors des concertations entre les deux intéressés…

Ainsi, le présent chapitre semble plutôt une mascarade qu’autre chose. Car, même si l’oncle Sam, nommé de nos jours Donald Trump, présente des exigences, réagir d’une telle manière, sans résoudre ce sujet oh combien central, cela n’est pas sérieux.

 

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