Alors que le rav avait été libéré du centre de soins Mayané hayechoua’ de Bené Brak, son état s’étant relativement amélioré, et qu’il avait un tant soit peu repris la vie normale qu’il menait auparavant, il a été à nouveau hospitalisé en ce mardi 25 avril.
Il était évident que le rav était faible, du haut de ses 103 ans, et que la vie d’avant n’était plus de mise : ceux qui ont eu le droit de l’approcher alors, peuvent témoigner de la pression énorme qui régnait dans sa maison, de la foule qui s’y rendait et de la difficulté inouïe qu’il pouvait avoir pour être reçu par lui.
Que le lecteur nous permette d’ajouter un élément personnel : la dernière fois où nous étions chez lui, cela nous a coûté un nettoyage à sec de notre habit, tant la pression et la chaleur étaient grandes – et le rav de recevoir stoïquement le public, tous les jours, une quantité de personnes innombrable…
Là, après Pessa’h, il a commencé à recevoir quelques hautes personnalités marquantes, telles que les députés de Déguel haTora, ou encore le rav Baroukh Soloveitchik (fils de rav Moché zatsal de Zurich), mais pas plus.
L’une des instructions sorties de ces consultations a été de quitter le gouvernement si la question du Chabbath à Tel Aviv, ouvertement permis dorénavant par la Cour suprême, n’était pas résolue.
Lundi soir, hier, il ne s’est pas senti très bien et ses proches n’ont pas eu d’autre choix que de le ramener à l’hôpital pour surveillance.
Aharon Yehouda Lev ben Guitel Feigué, lirefoua cheléma !
