SOS ORL : épidémie de surdi-mutité chez les journalistes

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3 singesC’est bien connu, les journalistes français sont des parangons de vertu et d’objectivité. D’ailleurs, cela fait partie de leur code de déontologie. Si, si, ils le connaissent, ce code ! Enfin, ils en ont au moins entendu parler, puisqu’ils le dégainent dès qu’ils sont pris la main dans le sac des préjugés qu’ils présentent comme des faits.

Est-ce à dire qu’ils ne se voient exactement tels qu’ils sont ?

Eh bien non. De même que la plupart des alcooliques n’admettent pas leur addiction, pas même ceux qu’on ramasse ivres-morts tous les weekends, les journalistes français n’admettent pas leur dépendance à l’antisionisme, pas même ceux qui militent activement pour la mort des Juifs et la destruction de leur pays.

Mirouêrr, joli mirouêrr, qui est le plus objectif en ce pays ?

Quand ces journalistes se regardent dans le mirouêrr, plutôt que de repérer de noirs antisémites, ils voient des chevaliers blancs de la palestinolâtrie. Les reporters d’investigation arrivent même à distinguer les antisionistes abrités sous une burqa blindée et derrière un bouclier anti-réalité.

Mais sont-ils réellement palestinolâtres ? À quoi les reconnaît-on ?

Le palestinolâtre vit essentiellement en Europe, en meutes recluses, pratiquant l’endogamie dans un habitat plutôt urbain. Il est complotivore, myope quand il s’agit de musulmans et hypermétrope dès qu’il s’agit de Juifs : la poutre du diamètre de la terre lui est invisible dans l’œil mahométan, alors qu’il coupe longuement en 64 le moindre cheveu israélite.

A ses propres yeux, cette méticulosité s’appelle rigueur professionnelle. Quant à l’observation bienveillante des sketches tournés à Pallywood, auxquels il attribue invariablement trois étoiles et un Ulysse[1] hilare, elle a pour nom « ligne éditoriale ».

Qu’en dit le fact-checking ? Voyons les faits

Fait : l’islam, dont l’objectif ultime est d’établir la religion du prophète sur l’ensemble de la planète, divise le monde entre Dar al-Harb, le monde de la guerre, où ne règne pas encore la sharia, et Dar al-Islam, le monde de l’islam où elle est loi. Entre les deux, on trouve Dar al-‘Ahd, le monde des infidèles, c’est-à-dire les territoires qui, à un moment ou à un autre, ont été sous domination musulmane et ont donc vocation à y revenir : l’Espagne, le sud de la France jusqu’à Poitiers, la Bosnie, la Serbie, etc.

Les populations de ces territoires sont soit déjà musulmanes, soit kouffar (infidèles). Certains kouffars ont droit au statut particulier de dhimmi : inférieur protégé.

C’est là que l’opinion militante commence à étouffer les faits journalistiques : jusqu’à très récemment, la « dhimma » était une invention lepéniste ou sioniste (excusez le pléonasme) destinée à stigmatiser l’islam. Depuis quelques années, Al-Qaida, puis Daech, y font régulièrement référence. Il est donc devenu impossible de la prétendre imaginaire. Qu’à cela ne tienne : quand nos journalistes palestinolâtres (réexcusez le pléonasme) décrivent le fait, cela donne une citation unique reprise (élisions incluses), média après média : « Que tous les membres de ces communautés [juives et chrétiennes] qui s’acquittent envers moi de l’impôt […] vivent dans la tranquillité d’esprit et vaquent paisiblement à leurs affaires, que personne ne les en empêche ou porte atteinte à leur vie ou à leurs biens, en contravention avec la loi sacrée du Prophète (Nouvel Obs et Academia.edu). » Cela donnerait presque envie ! Sauf que…

Deuxième étape : le checking, ou la vérification des faits

Dans le narratif journalistico-français, quelques oublis d’importance induisent un sérieux contresens sur le concept de dhimma : toutes les interdictions imposées au groupe des inférieurs sont passées sous silence. Pourtant il y en a. Douze. Les six premières, passibles de la saisie des biens et de la peine de mort, ont trait à la supériorité du Coran sur tout autre texte : interdiction de se moquer du Coran ou de le modifier, de parler en termes insultants de Mahomet ou de l’islam, d’avoir des relations sexuelles avec une musulmane, de tenter d’affaiblir la foi d’un musulman, d’aider des non-musulmans en guerre contre les fidèles et de porter des armes. Les six autres commandements (interdictions ou obligations) n’exposent qu’à des amendes ou à des sanctions mineures. Elles imposent de payer l’impôt de soumission, de porter un vêtement distinctif, interdisent de construire des lieux de culte ou des habitations qui dépassent en hauteur ceux des musulmans, de pratiquer publiquement sa religion ou de boire de l’alcool, d’enterrer ses morts en priant à haute voix et de posséder ou de monter des chevaux (les ânes sont autorisés mais uniquement montés comme des femmes, en amazone).

Une fois qu’on a dit ça, eux, ils n’ont rien dit

La hiérarchie mise en œuvre par les médias et tous les autres idiots utiles du royaume de France est différente de celle enseignée par le Coran. Foin du podium où les Croyants occupent la première marche, les dhimmis la seconde et les esclaves et le bétail la troisième : pour nous, le roi du pétrole, c’est le pauvre palestinien, à qui est dû 100% du stock d’empathie disponible et que l’on béatifie au nom du martyre qu’il subit sous le joug du Juif, le nouveau nazi, le Pirk’Hitler.

Le Monde et Libération, auto-proclamés fact-checkeurs de la Résistance, n’ont jamais trouvé utile de vérifier la légitimité de ce casting qui leur tient lieu de colonne vertébrale : Écoute, internaute, le Palestinien est ton D4, le Palestinien est Un, le Palestinien est en voie de disparition à cause du méchant Israélien. Pourtant, quelques curieux simplets et binaires observent les chiffres et s’étonnent que les génocidaires juifs aient, en 70 ans d’existence, dont 50 « d’occupation », multiplié par 7 la population palestinienne qu’ils sont censés exterminer. Heureusement qu’ils n’ont pas voix au chapitre (leur voix est légitimement interdite d’antenne), car sinon, ils encourraient de lourdes peines de prison pour crime de réflexion en dehors de la ligne du parti pris.

La patrie des droits de l’homme a les journalistes qu’elle mérite

Quand on est aussi radicalement islamistophile que les Tintin germanopratins, on est obligé de faire des choix éditoriaux, tant la place manque en Une. Des fois on a le temps de décortiquer les rapports d’Amnesty International et des fois pas…

2018 aura été une année sans. Pourtant, il y avait de quoi faire, les constatations d’Amnesty étant confirmées, voire doublées par celles de Iran Human Rights (Droits Humains d’Iran), une organisation dont les militants travaillent en sécurité en Norvège. « En 2018, au moins 273 personnes ont été exécutées en Iran. Le gouvernement iranien se classe au deuxième rang, après la Chine, en nombre absolu d’exécutions et au premier rang au prorata par habitant. C’est le nombre officiel. Le nombre réel est probablement bien plus élevé. (…) Bien qu’il ait ratifié la Convention des Nations Unies sur les droits de l’enfant, qui proscrit la peine de mort pour les crimes commis avant l’âge de 18 ans, l’Iran reste le leader mondial des exécutions de mineurs délinquants : au moins 40 exécutions depuis 2013. (…) 49 personnes, qui avaient moins de 18 ans au moment des faits, se trouvent aujourd’hui dans le couloir de la mort iranien. L’ONU estime qu’ils sont bien plus nombreux. Par ailleurs, le recours à diverses formes de torture, comme l’amputation et la flagellation, a augmenté à un rythme alarmant (Iranhr). »

Il n’y a pas d’Amnesty dans le numéro que vous avez rédigé

En cette Journée des femmes[2], il est intéressant de remarquer le rapport d’Amnesty sur l’Iran chiite et shariatique : « Selon des sources officielles, entre le 21 mars et le 21 septembre 2018, au moins 366 filles âgées de moins de 15 ans et 29 filles de moins de 10 ans ont été mariées. Le Parlement a continué de débattre d’un projet d’amendement à l’article 1041 du Code civil sur l’âge du mariage. L’amendement, qui interdirait le mariage aux filles de moins de 13 ans, a été rejeté par la commission juridique et judiciaire du Parlement (Amnesty). »

Entre les sanctions inhumaines contre les ados délinquants et les mariages forcés sur des gamines de moins de dix ans, il y aurait de quoi remplir des colonnes et des Unes. Qu’en disent les médias français ? « Iran » accouplé à « sanctions » renvoie à des articles du mois d’août 2018 : « Les sanctions s’abattent, les Iraniens se débattent » titre Libé plaignant les citoyens perses victimes des sanctions américaines. Sur les droits de l’homme, pas un mot.

Le Monde fait beaucoup mieux dans la tartufferie cynique : sous les titre « En Iran, le retour des sanctions marginalise Hassan Rohani », on peut lire que « les factions iraniennes ont pris leurs distances avec un président modéré affaibli (Le Monde). » Qui n’a pas les larmes aux yeux en constatant que la démocratie et l’humanisme vont reculer à cause du Trump mal léché ? Des larmes de rage, car le quotidien français de référence, docteur fœdari causa[3] en propagande islamiste, publiait cette défense du « président modéré affaibli » précisément pendant la période couverte par le rapport d’Amnesty cité ci-dessus.

A-t-on raison de parler du corporatisme des journalistes ?

Il n’est pas difficile de répondre par l’affirmative grâce à une étude de cas édifiante, le contre-exemple parfait de l’indispensable vérification des sources, base et pierre angulaire du journalisme. Le faux pallywoodien qui a déclenché une guerre et la plus grand campagne d’antisémitisme depuis 1945 était un sketch : « La mort en direct du petit Al-Dura ».

La question n’est pas de démonter une énième fois la mise en scène, l’implication du journaliste français qui n’a pas assisté aux faits, mais qui a adopté le narratif du militant palestinien employé comme cameraman, le don gracieux fait aux télévisions arabes du montage et de son commentaire mensonger, les bénéfices directs pour le journaliste français en termes de prix décernés par toutes les dictatures du globe, les bénéfices collatéraux pour la politique pro-arabe de la France en termes de montée en flèche des violences antisémites…

Il ne s’agit pas non plus d’énoncer les preuves du mensonge, qui ont donné lieu à des documentaires dans des pays où le journalisme consiste à présenter des faits et non des opinions et à vérifier les sources de tous ce qu’on affirme[4].

Ce qui est intéressant, dans cette histoire, c’est la levée de boucliers de la totalité de la médiacratie française, outrée que l’on puisse soupçonner l’un des siens d’erreur, de légèreté, de manipulation, voire de mauvaise foi. Pas une seule intervention en faveur du journaliste n’a mentionné les faits. Pas une seule ne s’est référée au fond : seul comptait l’honneur du salarié de la chaîne nationale française, dont le mensonge avéré avait fait acquérir à notre pays une popularité proto-stalinienne dans tout ce que la planète comptait de dictatures islamiques.

La solidarité journalistique est-elle universelle ?

Si nous appliquions la méthode journalistique française, qui consiste à prendre ses désirs pour des réalités et à les imposer au public par la menace, nous n’hésiterions pas à présenter le corps médiatique français comme le Robin des Voix internationales. Mais nous sommes indépendants, responsables de nos paroles et nous vérifions nos sources. Nous ne sommes donc pas des journalistes français, CQFD.

Force nous est de constater que les confrères défendus ou lâchement abandonnés à leur sort par nos Rouletabille nationaux le sont en fonction d’un critère et d’un seul : la nationalité de leurs tourmenteurs. Si on peut incriminer l’État juif, inutile de chercher les preuves, vas-y Coco, on fonce, c’est du lourd, ça ! Va apporter un photomaton de la victime/du martyr/du saint/du résistant/du justicier qui a courageusement éliminé un colon de trois mois… bref, du gentil au service Com’ de la Mairie de Paris, ils en feront un poster de 25 mètres par 5 qui ornera le fronton de l’Hôtel de Ville.

Malheureusement, Israël est tout ce que l’État français n’est pas : courageux, protecteur de ses citoyens et respectueux de la liberté de la presse. Alors il est difficile de l’incriminer dans l’atteinte à la liberté de la presse. On le fait quand même, hein, faut pas nous prendre pour des philosémites ! Mais l’accusation tombe assez rapidement, surtout que la presse anglo-saxonne, elle, travaille encore à l’ancienne, avec des enquêtes, des faits et des preuves. Nous on n’a pas de temps à perdre dans toutes ces billevesées. On accuse et quand la preuve de l’innocence nous arrive par l’étranger, on change d’accusation, c’est tout simple.

Des journalistes emprisonnés, ça existe encore ?

Ils sont nombreux, les journalistes dans les prisons palestiniennes, que ce soit à Gaza ou en Cisjordanie. Manque de pot, ce sont les endroits au monde où les journalistes français ne veulent voir et entendre parler que de victimes des Israéliens. Alors ceux qui sont en prison à Jéricho ou à Gaza City n’avaient qu’à s’arranger pour ne pas y être, ils sont personæ non gratæ dans les colonnes des French News. L’Autorité palestinienne peut poursuivre tranquillement sa répression contre les journalistes palestiniens, surtout ceux qui ne sont pas affiliés au Fatah du petit père Abou Mazen[5], il n’y aura jamais personne pour la dénoncer sur la rive gauche de la Seine. Ni sur la rive droite, d’ailleurs.

Comme on le disait des Juifs sous l’Occupation, il n’y a pas de fumée sans feu. Si ces gens, fussent-ils journalistes, sont en prison dans une démocratie aussi idyllique que la Palestine, c’est qu’ils ont dû pousser le bouchon très loin. Ce n’est quand même pas compliqué de respecter la loi : il est interdit de critiquer le président Mahmoud Abbas et les apparatchiks de l’Autorité palestinienne. Ce qui va sans dire va encore mieux en le disant, il est pareillement interdit de mentionner les violations des droits de l’homme et la torture dans les prisons de l’AP. Les Palestiniens qui ont été arrêtés ou convoqués pour interrogatoire ces derniers temps, avaient publié sur Facebook des commentaires critiques ou désagréables sur les personnes tabou. Donc ils avaient mérité la sanction, on peut circuler, il n’y a rien à voir.

C’est contrariant pour l’éthique, ces infos qu’on ne peut pas cacher !

En effet, plusieurs médias arabes en parlent et comme ils l’écrivent en anglais, cela finit par se savoir jusque chez nous. Par exemple les opposants à Mahmoud Abbas qui sont morts en 2018 en prison dans des conditions mystérieuses : Majd Barghouti de Ramallah, Fadi Hamadneh de Naplouse, Arafat Jaradat et Rabi Mahmoud al-Jamal de Hébron, Ayman Samara de Jénine, Nawaf Kawazbeh de Bethléem, Raed al-Hitleh de Tulkarem…

Hazem Nasser, lui, est toujours vivant. Il a été arrêté en janvier 2019 par les « forces de sécurité » et son avocat a révélé qu’il avait été torturé pendant son interrogatoire à la prison centrale de Jéricho. Quant à Yousef al-Faqeeh, il a été « accusé d’incitation à des conflits sectaires en vertu de la loi sur la cybercriminalité et a été interrogé sur des articles publiés sur sa page Facebook », a déclaré son avocat le 23 janvier 2019.

Selon le Comité de Protection des Journalistes, le CPJ, son collègue Zaid Abu Ara, de l’agence de presse Quds et le photographe Motasem Saqf al-Hit, du réseau Quds News, affilié au Hamas, ont été arrêtés en Cisjordanie en décembre 2018. Al-Hit a été libéré le 6 janvier 2019 et Abou Ara le 18 janvier, mais sous caution.

Ces informations sont disponibles sur le site du Centre palestinien pour le développement et la liberté de la presse, MADA pour les intimes et les courageux[6].

Quand un « martyr » palestinien tombe de son cercueil et y remonte par ses propres moyens, aucun journaliste français n’a le moindre doute sur la réalité de son décès. En revanche, quand un journaliste palestinien dit avoir été torturé dans une prison palestinienne, cela paraît tellement hénaurme à nos fact-checkers qu’ils jettent vite vite, pour ne pas se salir les mains avec une propagande sioniste, donc mensongère. Ce ne sont pas eux que l’on pourrait accuser de manque de respect vis-à-vis de l’Autorité palestinienne : ils lèchent d’une langue de velours la main de fer en ronronnant.

Ils viennent jusque dans nos médias égorger nos oreilles avec leurs infos !

Le Syndicat des journalistes palestiniens (qui met les journalistes au pas et n’a donc rien à voir avec le CPJ qui les protège) suit la ligne de Mahmoud Abbas jusque sur les pointillés. Il a fait savoir qu’il était en train de rédiger une liste noire des journalistes arabes soupçonnés de normalisation avec Israël.

Ses collègues français, qui scrutent en permanence le conflit israélo-palestinien dans l’espoir de prendre Israël en flagrant délit de légitime défense, répètent le même mantra chaque fois qu’ils s’asseyent devant leur ordinateur pour écrire en dormant : « L’extrémiste Netanyahou ne veut pas faire la paix, si bien que le modéré Abbas, qui milite pour les deux États, n’a pas de partenaire pour faire la paix. »

Quand un groupe de journalistes égyptiens, libanais marocains et algériens a fait un voyage en Israël, le ministère de l’Information de l’Autorité palestinienne s’est fendu d’une violente diatribe pour les accuser de promouvoir la normalisation avec Israël.

« La normalisation [avec Israël] est une honte inacceptable et injustifiée. Le ministère affirme son rejet de la normalisation des médias avec l’occupation et le considère comme un crime inacceptable en toutes circonstances. »

« Ce qui s’est passé était un énorme péché politique et national (Gatestone) », a renchéri le Syndicat des journalistes palestiniens, appelant à la fin de toute forme de normalisation avec Israël, y compris dans les médias.

S’il est dur d’éviter les mauvaises nouvelles venues du Moyen-Orient, que faire quand le journal arabe qui les diffuse est basé à Paris ?

C’est le cas du magazine Kul Al-Arab. Il a déclaré avoir viré le journaliste égyptien Khaled Zaghloul, qui faisait partie du groupe coupable d’être allé visiter l’ennemi en décembre 2018. Le rédacteur en chef a parlé au nom de ses journalistes : « Ils sont engagés dans les causes arabes justes et légitimes, en particulier la cause palestinienne, et condamnent catégoriquement cette visite inacceptable (Gatestone). »

Pénurie d’ORL sur la planète Médias 

Damned ! Il n’y a pas que les politiques, les médias et la finance mondiales qui sont aux mains des Juifs, il y a aussi le conseil de l’ordre des médecins français, qui a, certainement sous leur ordre, supprimé le D.U. Laryngo-Phoniatrie-Journalistes de la spécialisation en ORL ! On se demande comment ils font, avec leur petit effectif de treize millions mondiaux, pour occuper toutes les places de pouvoir qui leur permettent de manipuler aussi efficacement les sept milliards d’autres humains…. En attendant, trouver un amiral de la narine et du rince-oreilles[7] qui ne soit pas juif, afin qu’il soulage nos journalistes de leurs acouphènes générateurs d’hallucinations relève de l’exploit. Quant à les soigner de leur mutité sélective, il faudra attendre la venue du Mahdi ! LM♦

Liliane Messika, mabatim.info

[1] « Ulysse, c’est le petit bonhomme qui accompagne les critiques de films de votre magazine {Télérama} depuis 61 ans. » Le Ulysse qui s’extasie aujourd’hui sur tout ce qui porte l’étiquette Made in Palestine, est né en 2012 sous la plume de Riad Sattouf, qui voit dans son personnage un « petit côté rebelle, Tintin mâtiné de rockabilly. » (Télérama).
[2] Texte écrit le 8 mars 2019
[3] « Fœdari causa » est le contraire de honoris causa, comme Le Monde de « journalisme honnête »
[4] Par exemple celui d’Esther Shapira, « L’enfant, la mort et la vérité », produit par le France 2 allemand, ARD HR, et visible sur Vimeo.
[5] Abou Mazen est à Mahmoud Abbas ce que Le-Petit-Père-Des-Peuples était à Staline : un surnom affectueux donné par une population reconnaissante.
[6] MADA Almasayef Street – Beit Asia Building – 3e étage – Ramallah – Autorité Palestinienne / Israël Tél : +972 297-6519 voir aussi Amnesty.
Logo Liliane Messika[7] Toute ma reconnaissance au lecteur qui se reconnaîtra comme auteur de cette jolie formule !

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