Une grande colère dans le monde orthodoxe après la décision du Premier ministre : « Punition collective »

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La décision du Premier ministre Netanyahou de laisser les villes orthodoxes qui ont réussi à combattre le virus sous blocus provoque une indignation sans précédent | « Il ne respecte pas les paramètres professionnels »

Be’hadré ‘Harédim

Suite à la décision du Premier ministre de ne pas lever à ce stade la fermeture des villes qui sont tombées de leur définition de « villes rouges », à titre de punition du fait que celles-ci ne veulent pas continuer à être bloquées, la colère monte dans le public orthodoxe contre le Premier ministre.

Le président du Comité de la Constitution, Yaakov Asher, s’est adressé au Premier ministre Netanyahu et a déclaré: « Le plan des feux de signalisation est accompagné d’une législation qui exige que dès qu’un léger changement se fait dans les villes « rouges », les restrictions doivent être levées. Et ce, immédiatement, ce qui peut inciter les autorités  des ces agglomérations à travailler correctement et accroître la confiance du public. »

Le président de la faction du judaïsme de la Tora, le membre de la Knesset Yitz’hak Pindrous, a également attaqué les décisions du Premier ministre en déclarant: « La vérité se fait jour ! » Il a appelé en conséquence les députés à se réunir immédiatement et à annuler le plan de feux de signalisation « qui est un plan de haine et non un plan pour réduire la morbidité et sortir les orthodoxes de la quarantaine suite à la baisse réelle des chiffres de cas déclarés », a-t-il dit.

Le président de la commission des enquêtes publiques, le député Yaakov Tessler, a également attaqué le Premier ministre, «l’annonce de Netanyahu selon laquelle les villes orthodoxes seront fermées même si elles passent à l’orange ne fait que confirmer le sentiment du public que l’on prend des décisions pour des raisons non professionnelles ! »

Entre temps, le Premier ministre a fait marche arrière, et Pr Gamzou a lui aussi parlé de demander du comité ministériel de libérer les villes dans lesquelles la situation s’est améliorée…

Tout ceci n’est pas bon.

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