Qui sommes nous ?

Kountrass, c’est 34 ans de culture, de réflexion et d’analyse selon les préceptes authentiques de la Tora. Que ce soit par des magazines ou des livres, en format papier, en e-book ou sur site, les membres de cette maison d’édition mettent tout en œuvre pour diffuser au maximum notre tradition, notre foi et notre vision des choses.
Accessible à tous, avec notamment des rubriques « pour jeunes », Kountrass vous invite à parer de judaïsme chaque aspect de votre quotidien.
Vous pouvez vous abonnez à Kountrass Mag, 36 ans d’archive au format digital. 

Histoire de Kountrass

Kountrass a derrière lui 34 ans de parution. Il a été lancé en novembre 1986 par un groupe de jeunes rabbanim, dont le rav Henri Kahn et le rav Yehochoua’ Hemmendinger, alors également dirigeants de la Yechiva Rachi de Jérusalem. De là, le nom de cette nouvelle revue, « Kountrass », comme l’appellation donnée aux écrits de Rachi par ses contemporains, pour désigner le « carnet » commentant l’ensemble des textes traditionnels. L’arrivée à Jérusalem du rav Binyamin Tagger a précipité la réalisation de ce projet. De fait, il amenait avec lui un premier numéro de revue. Il restera durant de longues années le premier rédacteur-en-chef de la revue.

En 1999, un second journal a été adjoint à cette parution : le News. Il était plutôt destiné aux nouvelles courantes, et paraissait pratiquement tous les mois. Le magazine continuait alors à paraître tous les deux mois. Depuis lors, seul le magazine parait, mais tous les mois, et le site Kountrass complète son oeuvre d’information.

Dès son lancement, ce media a retenu l’attention du public par sa volonté de présenter, en un langage clair et moderne, les divers aspects de la culture juive, ainsi que l’actualité, vue par des gens de Tora et comprise selon la conception d’une orthodoxie pure mais ouverte. Souvent, ce media sert de référence dans la presse juive, et s’avère facilement consulté par des journalistes de tous bords.

Il jouit également de l’estime et du soutien des grands dirigeants de notre communauté. 

Notre objectif

En vérité, deux effets sont attendus de telles publications : à l’intérieur même de la communauté, il est important que le message de la Tora soit porté auprès d’un maximum de personnes – tout le monde n’a pas le privilège d’assister aux cours des rabbanim. En outre, vers un extérieur de plus en plus virulent, il devient capital d’exprimer les vues de la Tora sur les diverses interrogations du moment. Ainsi, les membres de la communauté pourront voir tout d’abord que réponse il y a, et apprendront souvent leur nature.

Rav SoloveitchikC’est dans ce double but que la revue Kountrass a été lancée, avec l’appui très fort du rav Moché Soloveitchik zatsal de Zürich, alors la personnalité toranique la plus marquante d’Europe.

Kountrass parmi les media orthodoxes

Kountrass s’inscrit dans le sillage d’autres media orthodoxes de par le monde, tels le Yated Nééman ou le Hamodia en Erets Israël, le Jewish Observer aux Etats-Unis, le Jewish Chronicle londonien, et tant d’autres.

Les Guedolim nous soutiennent !

Pour sa part, le rav Chelomo Wolbe zatsal s’exprime (en 1999)alors :

« Je viens renforcer l’action du rav Henri Kahn qui fait paraître le journal Kountrass depuis 16 ans.

Rav Wolbe« Depuis la fondation de ce journal, j’ai le plaisir de lire les enseignements de Tora qu’il présente au public francophone de la meilleure manière possible, afin d’apporter à cette communauté une connaissance des valeurs de la Tora.

« Le rav Kahn est tout à fait digne de confiance, d’autant plus qu’il a dirigé durant de longues années une Yechiva pour Français. Ce qu’il fait paraître correspond parfaitement à notre tradition.

« Il est très important que toute famille de langue française soit abonnée à ce journal et apporte en son foyer la Berakha de la Tora. »

Il n’est pas sans importance de préciser ici que le rav Chelomo Wolbe comprenait le français, et lisait notre revue – son gendre, le rav Ye’hiel Bamberger de ‘Haïfa, né quant à lui en France, fait partie du comité de lecture de Kountrass.

L’ancien Grand Rabbin de France, le rabbin Sitruk, zatsal, écrivait :

« Nous connaissons depuis des années le travail remarquable du journal Kountrass. S’abreuvant aux sources de la tradition juive, il nous propose à chaque numéro des dossiers documentés et passionnants. Il fait preuve d’objectivité et d’une déontologie en accord avec les principes de la Tora.

Le Grand Rabbin Sitruk« Aussi, est-ce avec conviction que nous lançons un chaleureux appel pour soutenir ce journal.

« En la période actuelle, cet appel prend un relief particulier et une urgence évidente.

« Il faut impérativement que tout Juif français soit lui-même abonné au journal Kountrass, et c’est une grande chose que chacun d’entre nous invite encore d’autres personnes de sa communauté à s’abonner également. Nous avons été informés du fait que la direction du journal lance une campagne en vue d’augmenter le nombre des lecteurs fidèles. Nous leur assurons toutes nos bénédictions de grande réussite, et envoyons toutes nos bénédictions à tous ceux qui les aideront dans cette campagne, bénédictions de succès et de réussite dans tout ce qu’ils entreprennent, de bonne santé et de hatsala’ha ! »

Quant au rav Moché Soloveitchik zatsal, si ne lui ne lisait pas cette langue, son épouse, ‘aléa haChalom la pratiquait, et était une abonnée assidue. De plus, le rav Soloveitchik était le témoin de réactions du public et de l’influence positive que certains travaux pouvaient avoir. Il n’hésitait pas à le faire savoir à la rédaction afin de l’encourager dans sa voie. J

Kountrass – un magazine typique ou une mission ?

Sur le plan pratique, une réunion a eu lieu chez le grand décisionnaire de notre génération, le rav Yossef Chalom Eliachiv zatsal, afin de savoir si on pouvait payer son abonnement avec le ma’asser, le dixième des revenus, à destiner à des bonnes œuvres ou à des pauvres.

Le rav a tracé alors les lignes suivantes :

« Une personne peut songer s’abonner elle-même avec de l’argent de Ma’asser, mais seulement pour ma moitié du prix. Somme toute, elle en profite elle-même.

Si elle vient en abonner d’autres, qui ne l’auraient pas fait d’elles-mêmes, par manque de motivation, etc, elle pourra couvrir l’ensemble des frais avec son Ma’asser. On pourra donc envisager d’abonner ainsi des membres de sa communauté ou de son entreprise.

Ces quelques précisions hilkhatiques données par ce grand décisionnaire s’inscrivent dans l’attention apportée par nos maîtres pour faciliter l’accomplissement de cette mission, et augmenter son impact.