Ce jour-là, nous pleurons la destruction de notre Temple, la perte de Jérusalem, l’exil, les pogroms, les bûchers, les humiliations. Ce n’est pas une commémoration abstraite: c’est une mémoire vivante, portée par chaque génération.
Un jour, passant près d’une synagogue en ce jour de deuil, il vit des Juifs assis à terre, pleurant.
Il demanda :
« Pourquoi sont-ils en deuil ? »
On lui répondit :
« Ils pleurent la destruction de leur Temple, survenue il y a près de 1 800 ans. »
Et Napoléon dit alors :
« Un peuple qui se souvient de son passé avec autant de fidélité est un peuple qui se relèvera. »
Parce qu’il avait compris une chose fondamentale :
Un peuple enraciné dans son histoire ne disparaît jamais.
Mais voilà. Emmanuel Macron, lui, a perdu la sienne.
Il ne sait plus qui il est, ni ce que représente la France.
Et c’est sans doute pour cela que le djihad, lui, s’installe et avance, pendant que la République recule.