Des centaines d’officiers du renseignement des unités 8200, 9900 et 504, rejoints par des représentants américains, se sont réunis dans un bunker secret au centre d’Israël et ont localisé la villa de Sanaa où s’était rassemblée la direction des Houthis. L’attaque, approuvée au niveau politique, a éliminé les principaux dirigeants du gouvernement et de l’armée.
Be’hadré ‘Harédim – Yanki Farber
Les funérailles des hauts responsables du gouvernement houthi à Sanaa ont déjà eu lieu, mais de nouveaux détails émergent sur la préparation israélienne qui a mené à leur élimination. Selon des sources sécuritaires, le chef du renseignement militaire, Aharon Binder, et le chef d’état-major, Eyal Zamir, ont donné début juillet l’ordre de créer une cellule spécialisée dans le théâtre yéménite. Environ 200 officiers et soldats des unités 8200, 9900 et 504 se sont réunis dans un bunker secret au centre du pays pour recueillir des renseignements précis sur la hiérarchie houthie. À cette équipe se sont ajoutés des représentants américains du CENTCOM (Commandement central des États-Unis).
Les analystes du renseignement ont identifié que les hauts responsables houthis préparaient une réunion sécuritaire sensible – une sorte de « conseil des ministres » incluant les chefs militaires. La lieutenant-colonel A., de la division Recherche, a informé le chef de la division Opérations, le brigadier-général M., que la rencontre devait se tenir dans une villa isolée au cœur de Sanaa. Après l’aval du chef d’état-major et du niveau politique, l’aviation israélienne a frappé le bâtiment où plus de vingt dirigeants étaient réunis.
Des sources sécuritaires ont souligné que le choix d’une villa privée plutôt que d’un bâtiment gouvernemental officiel visait à dissimuler la rencontre. La présence du ministre de la Défense et du chef d’état-major houthis a transformé l’objectif en cible légitime, y compris selon le droit international.
Israël affirme désormais ouvertement que le leader des Houthis, Abdel Malek al-Houthi, a été désigné comme cible à éliminer. Son statut symbolique au sein du mouvement, comparable à celui de Hassan Nasrallah au Liban, fait de lui la figure centrale de l’organisation. C’est pourquoi il mène sa vie dans la clandestinité, n’apparaît que dans des discours enregistrés et évite toute exposition directe. D’après des sources sécuritaires occidentales, son élimination pourrait ébranler toute la structure organisationnelle au Yémen.
Depuis la frappe, les Houthis ont lancé quatre missiles balistiques contre Israël, dont deux la nuit dernière. Tous se sont abattus en chemin sans atteindre le territoire et n’ont causé aucune victime. Les autorités israéliennes estiment que ces tirs reflètent surtout l’embarras et l’incapacité du mouvement à répondre à la perte de son état-major.
N’importe quoi, allez-vous puiser vos infos auprès afp ?
Tsahal a intercepter un ou plusieurs téléphones de personnes averties par des ordonnances alors qu’il leur était strictement interdit de parler par téléphone de la réunion, c’était 3 heures avant les frappes de Tsahal !
Ensuite Tsahal à ciblé 3 locations distinctes dans lesquelles étaient réunis des dodus du régime et leurs commandants militaires. En réalité, il y a eu des centaines de morts dans cette opération, malik al houthis était en duplex et parlait en direct depuis son bunker, son bunker qui a également été localisé et bombardé (il n’a toujours pas réapparu en live). Cette opération a été exécutée à partir de plans définis antérieurement, mais le feu vert a été approuvé directement par Bibi sans passer par le labyrinthe gauchiste et bien sûr, sans avertir les ricains. Donald passe pour un nain, il avait déplacé 2 porte-avions, 80 cuirassiers et le reste, après 3 semaines et avoir perdu 4 avions, il a dû fuir comme un lapin, ses porte-avions ont évités 3 ou 4 missiles chinois, l’un d’eux pour éviter un de ces missiles a tellement viré à bâbord qu’il a perdu 1 F/A 18 en mer, bref, résultat, les houthis ont ris comme des hyènes pendant encore 2 mois.
Les renseignements savaient qu’après l’opération du 24 août que le malik allait faire le beau, mais Israel a pris connaissance du lieu et de l’heure, juste 3 heures avant l’opération la plus prestigieuse de toute l’histoire militaire !