Enquête en ligne : ce que tous les enfants « affamés » ont en commun

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Des journalistes américaines ayant mené une enquête basique ont révélé clairement que tous les enfants présentés comme « affamés » à Gaza souffraient en réalité de graves maladies préexistantes. L’enquête met en lumière la complaisance des médias internationaux qui ont relayé les mensonges du Hamas.

JDN – Zeev Gour Aryeh 

Un média américain, The Free Press, a mené une enquête indépendante sur les photos d’enfants « affamés » publiées par le Hamas et reprises dans la presse internationale. Conclusion sans équivoque : les enfants dont les images ont circulé ne souffraient pas de famine mais de maladies graves déjà existantes.

« Il y a deux semaines, j’ai remarqué quelque chose d’étrange. Une photo d’un enfant émacié à Gaza – si percutante qu’elle a fait la une du New York Times. Et pas seulement du Times. Le même enfant est apparu dans des articles de CNN, CBS et NPR. Différents médias, différents photographes, mais le même enfant », écrit Olivia Reingold, journaliste de The Free Press.

La journaliste poursuit : « Cela a allumé un signal d’alarme. Alors j’ai fait quelque chose de simple, que peut-être personne d’autre n’avait tenté : j’ai passé les noms des enfants figurant sur ces photos virales de Gaza dans Google Translate pour en obtenir l’orthographe arabe, puis j’ai recherché dans la presse arabophone. Ce que ma collègue Tania Loukianova et moi avons découvert était stupéfiant : une douzaine de cas d’enfants présentés par les grands médias comme victimes de famine présumée souffraient en réalité de maladies graves préexistantes. »

L’enquête des deux journalistes montre comment les principaux médias américains ont induit le public en erreur sur la crise de la « famine » à Gaza, en utilisant des images d’enfants atteints de maladies sévères pour créer l’impression trompeuse que toute une population était affamée.

Les journalistes précisent qu’aucune recherche de terrain approfondie ni des mois de travail n’étaient nécessaires. L’opération a pris quelques minutes et ne demandait qu’un ordinateur et une connexion internet : « Nous avons simplement passé les noms mentionnés dans les histoires par Google Translate pour obtenir leur orthographe arabe, puis nous avons cherché ces noms dans la presse arabophone. Un rapide survol des résultats a montré que beaucoup de ces enfants souffraient d’atrophie musculaire, de lésions cérébrales ou d’autres pathologies graves expliquant leur apparence émaciée. »

Olivia Rose, chercheuse à l’Institut NCRI pour l’étude de la désinformation en ligne, souligne que le Hamas a tout intérêt à propager la panique autour d’une prétendue famine : ce récit vient fragiliser l’un de ses principaux points de vulnérabilité – le financement humanitaire de Gaza.

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