Les Iraniens ont nié avoir tiré, puis ont changé de version : « C’est Israël qui a violé la trêve en premier »

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Ce matin, mardi le 24 juin, plusieurs mises en garde contre des tirs en provenance de l’Iran ont pertrubé la vie en Terre sainte. Ceci, alors que Trump annonçait un arrêt des combats. Dans un premier temps, l’Iran a nié les accusations selon lesquelles il aurait lancé des missiles vers Israël après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Plus tard, les autorités iraniennes ont affirmé que les tirs étaient une riposte aux frappes israéliennes menées dans la matinée en Iran.

JDN 

Dans un premier communiqué, l’état-major des forces armées iraniennes a nié avoir lancé des missiles balistiques vers le territoire israélien après le début du cessez-le-feu. La déclaration affirmait : « Aucun missile n’a été tiré vers la Palestine occupée après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. »

Cependant, la version iranienne a évolué. Le porte-parole du commandement d’urgence des forces armées iraniennes, rattaché à l’unité Khatam al-Anbiya, a accusé Israël d’avoir frappé l’Iran après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Il a déclaré que le tir de missiles était une réponse aux actions d’Israël : « Le régime sioniste a mené trois vagues de frappes sur des cibles situées en territoire iranien jusqu’à 09h00. »

Le communiqué précisait également que : « Les forces armées ont annoncé qu’aucune agression ne resterait sans réponse, et que ce régime paiera un lourd tribut. »

NDLR : Il faut savoir ce que disaient déjà nos grands maitres, les Tossafistes (‘A. Z. 2b) sur les Iraniens (alors, les Perses) : ils ont une grande force, et sont très vicieux…

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