La conversation se tiendra dans le contexte du refus iranien face à une exigence clé des États-Unis – et une réunion spéciale de sécurité est prévue ce soir en Israël.
Be’hadré ‘Harédim – Meir Galboa
Le président des États-Unis, Donald Trump, et le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, doivent s’entretenir ce soir par téléphone pour une discussion entièrement consacrée à la question iranienne. Cette conversation intervient à la suite de ce qui semble être un refus de l’Iran d’accéder à une exigence essentielle de l’administration américaine : l’arrêt de l’enrichissement d’uranium sur son territoire.
Selon le journaliste Yaron Avraham, des réunions intensives ont lieu ces dernières semaines à Jérusalem sur ce sujet, impliquant des hauts responsables de la sécurité et des affaires étrangères. Hier encore, une réunion restreinte a eu lieu, et Netanyahou tiendra ce soir une réunion spéciale de sécurité afin d’anticiper les scénarios possibles à la suite du refus iranien et en réponse à une éventuelle réaction américaine.
Dans les cercles diplomatiques israéliens, l’inquiétude grandit à l’idée que les États-Unis pourraient faire preuve de souplesse envers Téhéran et revenir à des négociations « molles », qui permettraient à l’Iran de conserver ses infrastructures d’enrichissement – ce qui serait vu à Jérusalem comme une concession dangereuse.
Trump lui-même a laissé entendre que si une réponse positive ne venait pas de Téhéran, “d’autres mesures seraient envisagées”. Lors de la conversation attendue avec Netanyahou, les deux dirigeants tenteront d’établir une position ferme vis-à-vis de l’Iran, Israël ayant d’ores et déjà averti qu’aucune concession sur l’enrichissement ne serait tolérable, au risque d’une escalade.
En parallèle de cette conversation, le Premier ministre tiendra ce soir une réunion sécuritaire avec des hauts responsables de Tsahal et du Mossad afin de discuter des conséquences de la réponse iranienne et des options stratégiques disponibles pour Israël.
À Jérusalem, l’appel avec Trump est perçu comme un moment critique, pouvant influencer la décision finale de l’administration américaine : soit maintenir l’exigence d’arrêt de l’enrichissement, soit adopter un compromis qui laisserait à l’Iran une infrastructure nucléaire active.
Je croyais que d’r Hans im Schnocklauch n’était qu’Alsacien.
Il peut être Américain et Israélien…
En tous cas, il n’est pas mollah iranien. Nos deux Hans im Schnocklauch devraient faire très attention.