• À Sderot, Ofakim, et dans les kibboutzim et les villages autour de Gaza, ce Yom Kippour a été particulièrement significatif. Dans certains endroits, la prière a fait son retour. Le kibboutz Soufa, dans la région frontalière de Gaza, est toujours évacué. Erez, le responsable de la synagogue, a obtenu l’autorisation d’y amener un minyan pour Yom Kippour. Il est allé préparer la synagogue et y a trouvé un loulav et un étrog laissés depuis Sim’hath Tora. « J’étais tellement ému, c’était si symbolique. Le loulav n’était pas complètement desséché, et même l’étrog, qui avait rétréci, dégageait encore un peu de parfum. Nous les avons gardés à nos côtés et prié avec eux le jour de Yom Kippour. Nous reviendrons, et en grand. »
• Il y a aussi d’innombrables histoires qui m’ont été envoyées, venant de bases militaires, de synagogues du monde entier qui étaient particulièrement remplies, et d’écoles à travers le pays qui se transforment en synagogues pour Yom Kippour. Mais après tout cela, pas besoin d’une histoire particulière, car Yom Kippour lui-même est l’histoire. C’est pourquoi je veux citer cette jeune fille de Jérusalem qui est venue prier pour la première fois après cette année difficile, et qui a dit : « Quand on dit ‘ensemble, nous vaincrons’, j’ai toujours pensé que cela concernait seulement nous, ensemble. Mais cela signifie aussi être ensemble avec la tradition, ensemble avec D’. Ensemble avec Lui, nous vaincrons. »
Que toutes les larmes, prières et espoirs de cette journée spéciale soient exaucés. Que de bonnes nouvelles arrivent.