Etonnement : l’Iran est à 6 % de l’uranium enrichi pour les armes nucléaires

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Les inspecteurs de l’Agence de l’énergie atomique ont trouvé de l’uranium enrichi à un niveau de 84 %, soit 6 % de moins que le niveau d’une arme nucléaire, le niveau le plus élevé jamais trouvé en Iran.

JDN

La bombe iranienne est plus proche que jamais : après le retrait de l’accord nucléaire et l’annonce par le président américain Joe Biden que « l’accord avec l’Iran est mort », ce soir (dimanche) il a été révélé dans un grand média occidental que l’Iran a se situent à quelques pour cents d’uranium enrichi en quantité suffisante pour assembler des armes nucléaires, que D’ nous en protège. Dans le même temps, la raison de la prétendue attaque israélienne de la nuit dernière en Syrie a été signalée.

L’Agence internationale de l’énergie atomique, l’AIEA, a découvert la semaine dernière que l’Iran avait enrichi l’uranium au plus haut niveau jusqu’à présent – 84% – une concentration inférieure de 6% à ce qui est nécessaire pour produire une arme nucléaire. C’est ce qu’ont déclaré deux hauts diplomates au réseau Bloomberg, qui ont souligné dans un briefing qu’à la suite de cela « l’activité effrénée de l’Iran sur la question atomique pourrait créer une nouvelle crise ».

Selon le rapport, l’Iran a précédemment déclaré que ses centrifugeuses étaient conçues pour enrichir l’uranium à un niveau de pureté de seulement 60 %. Maintenant, la quantité d’uranium est déjà beaucoup plus proche de la quantité qui serait suffisante pour que les gardiens de la révolution assemblent une arme nucléaire, et selon des rapports étrangers, Israël a récemment tenté de mener diverses actions pour retarder le plan iranien – y compris l’attaque usines d’armement sur le sol iranien, à l’aide de drones suicides.

Dans le même temps, il a été rapporté dans le journal « New York Times » que le but présumé de l’attaque israélienne d’hier à Damas, la capitale de la Syrie, était de frapper des Iraniens près d’un site utilisé par les gardiens de la révolution. C’est selon un haut diplomate occidental cité dans le journal. Reuters a rapporté que la cible attaquée était un complexe logistique utilisé par les gardiens de la révolution, selon deux sources de renseignement occidentales.

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