Les hommes du mensonge, du déni et de la fraude attaquent avec tous les outils et l’artillerie tout ce qu’ils voulaient eux-mêmes créer. Dans le passé, il y avait un citoyen nommé Eli Saban qui a fouillé dans les archives de la Knesset pour tenter de découvrir au plus profond d’où il est apparu pour la première fois la question de la réforme juridique ?
Editorial explosif du Yated Nééman (26 septembre 2023) – Illustration (shutterstock) : Manifestation face à la Knesset – « Perte du 3e Temple ! »
Ce qu’il a découvert est plus que troublant ! C’était lors de la 53e session de la 15e Knesset] quand le Premier ministre s’appelait Ehud Barak – celui qui à présent dirige le groupe des anarchistes locaux et tire les ficelles de la contestation, dont la terminologie violente et sanguinaire n’hésite pas à parler de parler « de corps qui flotteront dans la rivière du Yarkon et que nous sommes en voie d’une révolution civile non violente, il y aura des hauts et des bas, cela peut prendre du temps, certaines de ces personnes perdront la vie en chemin », sans craindre que la prédiction s’accomplisse tel que défini par la psychologie. Personne à droite ne pense engager une action en justice, car la confiance dans la justice est ébranlée ! Mais revenons aux résultats :
Le président de cette Knesset était Avraham (Avrom) Bourg en la date symbolique en termes d’histoire israélienne – le 29 novembre 1999. Cette institution a prit la décision suivante, adoptée à la majorité, après le vote – il faut la lire lentement, mot par mot :
1. La Knesset demande à la Cour suprême de s’abstenir de toute ingérence dans les questions éthiques, halakhiques, idéologiques et politiques. 2. La Knesseth demande à la Cour suprême de s’abstenir d’interférer avec les lois que la Knesset a créées et dans le statu quo qui existe depuis la fondation de l’État. 3. La Knesseth déclare que le forum des juges du Bagatz (id est : la Cour suprême en question) devrait être élargi et doit permettre une représentation de toutes les composantes du peuple. 4. La Knesseth s’oppose à la conception du président de la Cour suprême, selon laquelle « tout peut être discuté » par le système judiciaire. 5. La Knesseth appelle à une concertation de toutes les couches de la population afin de lutter entre les opinions et pour éviter la polarisation au sein du peuple.
En fait, à l’époque du gouvernement dirigé par ce même Ehud Barak et la Knesseth, dans laquelle il avait la majorité, a approuvé les principes de la « réforme judiciaire » que les opposants actuels qui veulent faire tomber le gouvernement, que dirige ce même Ehud Barak, et la traite de « coup d’État politique ». Il y a 24 ans, ces mêmes éléments correspondaient à la « démocratie » et, comme mentionné, lorsque le régime au pouvoir a été renversé, les formules ont également été changées, et on parle à présent de « Dé-mo-cra-tie » et de « honte », qui autorisent la délinquance et le refus. Ce qui était autrefois un souhait de ces hypocrites, lorsqu’ils étaient au pouvoir, c’est devenu une dictature quand ils tentent de récupérer le pouvoir.
NDLR : Eux, cela n’est pas tellement le problème, ils sont perdus dans leur folie, mais comment se fait-il que tant de gens dans la population israélienne sont dupes et se laissent prendre au piège ?