On vous a vendu le mythe d’un peuple opprimé rêvant de liberté.
Mais à Gaza, la réalité est d’une noirceur que même la propagande ne parvient plus à masquer.
La chercheuse Dr Orit Perlov (INSS) rapporte que le Hamas exécute par centaines ceux qui ont osé envisager une autre voie.
Des hommes, des femmes, des jeunes soupçonnés d’avoir parlé, critiqué, espéré.
Et pourtant, la majorité des Gazaouis applaudissent.
Ils ne fuient pas le monstre, ils l’encensent.
Parce que dans leur imaginaire collectif, la haine d’Israël est plus sacrée que la vie elle-même.
Leur enfer est moins insupportable que l’idée d’une paix avec “l’ennemi sioniste”.
Ce n’est donc pas un combat territorial qu’affronte Israël, mais un combat spirituel contre une culture de mort, érigée en identité.
Et pendant que les ONG occidentales se lamentent sur les « destructions », le véritable massacre se déroule à huis clos, celui d’un peuple par ses propres geôliers.
Gaza n’est pas une victime.
Gaza est prise en otage par sa propre haine, nourrie, entretenue, sanctifiée depuis des générations.
Et tant que cette haine-là ne sera pas désarmée, aucune reconstruction ne tiendra,
aucun cessez-le-feu ne signifiera la paix.
