Une fois de plus, les médias internationaux relaient la propagande mensongère du Hamas sur une prétendue famine à Gaza, soutenue bruyamment par certains milieux de gauche israéliens. Le quotidien britannique Daily Mirror a publié ce week-end, en une, des photos de Karim Ali Fawad Abu Maamar, un enfant de 3 ans de la bande de Gaza, extrêmement maigre, la peau sur les os et le ventre gonflé. Le journal a repris les accusations du Hamas selon lesquelles son état serait dû à la famine dans la bande de Gaza. Il s’agit pourtant d’un journal majeur, qui aurait dû vérifier sérieusement la véracité de ces affirmations avant publication. D’autant que d’autres grands médias sont déjà « tombés » dans le piège du Hamas, publiant des images d’enfants affamés qui se sont ensuite révélées être de la pure fake news.
Il semble toutefois que ces médias prennent un certain plaisir à servir les mensonges du Hamas, afin de s’associer à la vague antisémite mondiale. Dans cette affaire, le coordinateur israélien des activités gouvernementales dans les territoires a révélé des documents médicaux antérieurs à la guerre, prouvant que l’enfant souffrait d’une maladie génétique appelée syndrome de Fanconi. Cette affection héréditaire explique son état de santé, et d’autres membres de sa famille en étaient également atteints.
Cette révélation illustre les tentatives continues de l’organisation terroriste Hamas de diffuser de faux récits dans le cadre d’une campagne de propagande mensongère. Dans ce cas précis, le Hamas a exploité l’état médical d’un enfant malade pour faire avancer son discours. Ainsi, le Hamas poursuit sa guerre de propagande contre Israël, enrôle à son service des médias internationaux, bénéficie du soutien actif de certains milieux de gauche israéliens et de certains organes de presse, tandis qu’Israël semble presque impuissant face à cette désinformation dangereuse qui menace la vie des Israéliens dans le monde entier.
Rav Yits’hak Roth, Yated Nééman, 26 août 2025
S’il a fallu cherché la photo d’un enfant malade, c’est bien la preuve qu’il n’existe pas une vraie famine, dans le cas contraire il eut suffit de prendre des photos des nombreux enfants de la rue.