Par Liran Aharoni et Ofer Hajyov, rédaction de Walla
Des sources ont indiqué à la chaîne qatarie Al Araby TV que le Hamas reste ferme sur sa demande de garanties concernant les modifications qu’il souhaite apporter à l’accord. De plus, selon des sources bien informées relayées par une chaîne égyptienne, le cycle de négociations indirectes qui s’est tenu à Doha a porté uniquement sur la question de l’entrée de l’aide humanitaire, sans avancée notable.
Les mêmes sources ont souligné qu’au cours du premier cycle de négociations tenu hier (dimanche), aucune percée significative n’a été obtenue entre Israël et le Hamas. Un deuxième cycle devait débuter sous peu à Doha.
Selon un autre rapport de la presse arabe, les délégations arrivées à Doha ont reçu une impulsion internationale pour aboutir à un accord. Le Jihad islamique a annoncé que son chef, Ziyad al-Nakhala, devait également se rendre à la capitale qatarie pour participer aux discussions en cours.
Pendant ce temps, Tsahal poursuit ses frappes sur la bande de Gaza, et une roquette a été tirée hier soir vers la région entourant Gaza.
D’après les sources, aucun progrès concret n’a été réalisé. Le cycle de négociations a seulement abordé la question de l’aide humanitaire. Israël insiste pour que cette aide soit acheminée par l’intermédiaire de la fondation américaine GHF (Gaza Humanitarian Foundation), et souhaite également étendre le nombre de centres de distribution gérés par cette fondation.
Le Hamas, en revanche, exige que l’aide passe par l’ONU et d’autres organisations, conformément au mécanisme établi dans l’accord de cessez-le-feu précédent, toujours selon ces mêmes sources.
On ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre. Le hamas utilise la guerilla et il est pas normal de voir plus de soldats mourir que d’otages vivants: c’est une absurdité totale. Il ne faut pas avoir peur de decider de « sacrifier » ou de ne pas tenir compte des otages car le sacrifice humain devient trop important sachant que l’on peut finir cette guerre rapidement et éviter des dizaines de soldats tues. SI l’armee ne parvient pas a ramener les otages, il serait absurde et fou meme de sacrifier d’autres soldats, car la vie d’un otage ne vaut pas plus que celle d’un soldat.