Le gouvernement permet aux députés (arabes) de rendre visite aux terroristes en prison. Ben Gvir veut en faire de même…

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Le président d’Otzma Yehudit veut rendre visite aux terroristes en prison – et insister sur les conditions qu’ils reçoivent lorsqu’ils sont arrêtés pour le meurtre de Juifs • « Le plan vise à permettre aux membres arabes de la Knesset d’avoir des contacts avec des meurtriers – profitons-en pour gâcher la fête », explique Ben Gvir.

Suite à l’approbation du nouveau plan révélé dans Israel Hayom, selon lequel le président de la Knesset Miki Levy et le ministre Omar Bar-Lev ont convenu de permettre les visites de membres de la Knesset aux prisonniers qui ont porté atteinte à la sécurité, le député Ben Gvir a soumis une demande au commissaire Shevast, selon laquelle il demande à rencontrer Mazen et Muhammad Awad, les assassins de la famille Fogel, qui purgent leur peine dans une prison de haute sécurité.

Il convient de noter que selon les règlements en vigueur, la décision d’approuver ou non une rencontre d’un député avec un prisonnier de sécurité appartient au ministre de la Sécurité intérieure et au commissaire. Sur la cible de Ben Gvir se trouvent plusieurs autres terroristes qui ont été complices et impliqués dans des meurtres, et Ben Gvir demande à visiter la prison où ils séjournent. Ben Gvir a l’intention de confronter les meurtriers et de vérifier les conditions qu’ils reçoivent dans les prisons.

Selon lui, « Ils se moquent de nous dans le monde. Nous avons transformé nos prisons en hôtels ‘tout compris’, et les meurtriers qui auraient dû s’asseoir sur la chaise électrique sont soumis à des conditions très avantageuses. J’ai l’intention de profiter du malheureux plan du ministre Bar-Lev et de Miki Levy, d’aller dans les prisons, d’affronter la racaille qui s’y trouve et ainsi de voir leurs conditions en prison. »

Ben Gvir a également ajouté : « Le programme est destiné à faciliter la liberté de mouvement des membres de la Knesset de Ra’am et de La liste commune et à leur permettre des contacts avec des meurtriers, mais j’ai l’intention de gâcher la fête. Je ne laisserai pas le sang de nos frères crier du sol – et les meurtriers recevront des visiteurs qui les respecteront. »

« Je viens faire le contraire de ce qu’envisageaient Bar-Lev et Miki Levy : leur crier dessus, vérifier que personne ne s’embrouille et se met à les gâter, et surtout nous rappeler à tous que face aux terroristes, nous devons nous tenir avec détermination et non avec complaisance. »

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