Victoire pour la justice : les États-Unis sanctionnent Francesca Albanese, une mesure sans précédent après la campagne d’UN Watch
GENÈVE, le 9 juillet 2025 — Dans une démarche historique et sans précédent, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a annoncé aujourd’hui que le gouvernement américain sanctionnait Francesca Albanese, la « rapporteuse spéciale sur la Palestine » discréditée de l’ONU, à la suite d’une campagne massive menée par UN Watch.
En sanctionnant Albanese en vertu du décret exécutif 14203, Rubio a cité ses « efforts illégitimes et honteux pour inciter la Cour pénale internationale à contre agir des responsables, des entreprises et des dirigeants américains et israéliens ».
Tous les actifs d’Albanese aux États-Unis sont gelés, les Américains n’ont pas le droit de faire des affaires avec elle et il lui est interdit d’entrer dans le pays.
Son mari antisémite et proche collaborateur Massimiliano Cali, qui travaille pour la Banque mondiale soutenue par les États-Unis en Tunisie, n’est pas automatiquement concerné, mais les autorités américaines peuvent bloquer son entrée s’il s’avère qu’il agit en son nom.
UN Watch salue cette nouvelle comme une victoire majeure pour la justice et l’État de droit. Cette décision fait suite à une campagne soutenue par UN Watch pour exiger des sanctions contre Albanese, notamment par des lettres envoyées au secrétaire d’État Rubio, au secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres et à d’autres responsables, des interviews dans la presse, des publications sur les réseaux sociaux, des projections géantes en extérieur sur des panneaux d’affichage et le soutien de plus de 120 000 personnes ayant signé sa pétition appelant les États-Unis à agir.
« Il s’agit d’une décision audacieuse et courageuse de la part du secrétaire Rubio », a déclaré Hillel Neuer, directeur exécutif d’UN Watch.
« Jamais auparavant un expert des droits de l’homme de l’ONU n’avait été sanctionné – et encore moins un expert de l’ONU n’avait été condamné pour falsification de l’Holocauste et antisémitisme par la France, l’Allemagne, le Canada et les États-Unis. Francesca Albanese est une partisane ouvertement antisémite du terrorisme », a déclaré Neuer.
Albanese se verra interdire l’entrée aux États-Unis et l’accès aux campus universitaires américains où elle a déjà répandu sa haine des Juifs et son soutien au terrorisme du Hamas.
« Albanese a accusé le lobby juif de contrôler l’Amérique », a déclaré Neuer. « En janvier 2015, elle a imputé de manière obscène l’attentat contre Charlie Hebdo à la CIA et au Mossad. Le 7 octobre, alors que le Hamas massacrait encore des civils israéliens, elle a justifié la violence en tweetant qu’il fallait la « remettre dans son contexte ». Aujourd’hui, la justice est faite. Le bien triomphe du mal. »
Jeudi dernier, lors d’un débat au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, Hillel Neuer, de UN Watch, a accusé Francesca Albanese d’ignorer le terrorisme et d’accepter des financements de groupes pro-Hamas.
La vidéo de l’affrontement a été vue plus de 700 000 fois depuis sa publication hier soir sur Twitter, YouTube, Instagram, Facebook et LinkedIn.
L’action du secrétaire Rubio fait suite à l’indignation croissante suscitée par la conduite d’Albanais, notamment sa justification du terrorisme du Hamas à partir du 7 octobre 2023, et ses comparaisons répétées d’Israël avec l’Allemagne nazie, notamment en qualifiant Gaza de « camp de concentration » et en invoquant les lois sur la « race pure ».
La prétendue reconduction d’Albanese en avril 2025 a été effectuée par l’ONU en violation flagrante de ses propres règles et au mépris des objections formelles du gouvernement américain et de multiples démocraties, comme l’a détaillé UN Watch dans sa lettre du 30 avril au secrétaire Rubio, appelant à imposer des sanctions.
À ce titre, UN Watch a obligatoirement notifié au Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, que son mandat avait légalement expiré le 30 avril et qu’à compter du 1er mai 2025, Albanese ne bénéficiait plus du statut officiel ni de l’immunité de l’ONU.
Le rapport détaillé d’UN Watch, intitulé « Un loup déguisé en mouton », documente les témoignages d’Albanais en matière d’incitation à la haine, d’antisémitisme et de soutien aux groupes terroristes. Ce rapport a servi de base à la pétition publique demandant des sanctions américaines et aux pays opposés à sa reconduction.
En février 2024, Albanese a été condamnée par la France et l’Allemagne pour antisémitisme lorsqu’elle a nié que le massacre du Hamas du 7 octobre était la pire attaque contre les Juifs depuis l’Holocauste, le justifiant plutôt comme une « réaction à l’oppression d’Israël ».
La France a qualifié ses propositions de « scandaleux » et de « honteux », tandis que l’Allemagne les a qualifiées d’« épouvantables » et de « honteux ». Toutes deux ont déclaré sa justification des attentats terroristes et son déni de leur caractère antisémite.
« La décision prise aujourd’hui par les États-Unis réaffirme un message clé : soutenir le terrorisme à ses conséquences. Il est désormais interdit à Francesca Albanese de répandre son poison sur les campus américains ou d’entrer aux États-Unis », a déclaré Neuer. « C’est un message précis à l’ONU : cessez de nommer des antisémites et des partisans du terrorisme comme experts des droits de l’homme. »
UN Watch remercie les plus de 120 000 sympathisants qui ont rejoint sa campagne et appellent les Nations Unies à mettre définitivement fin au mandat d’Albanais et à garantir que les futurs candidats répondent aux normes d’impartialité, d’intégrité et de respect des droits de l’homme.