Le 7 octobre 2023, le Hamas n’a pas combattu : IL A MASSACRÉ
Des bébés brûlés vifs, des femmes violées, des familles entières exécutées. Des vieillards traînés, torturés, enfermés dans des tunnels à quarante mètres sous terre, privés de lumière, de vêtements et de nourriture.
Ce jour-là, l’humanité a basculé dans la nuit. Et depuis ? Le monde parle.
Le monde commente. Mais le monde ne juge pas.
Ce 13 octobre 2025, vingt otages encore vivants de cet enfer souterrain seront enfin remis à leurs familles.
Leurs visages décharnés, leurs silences, leurs regards perdus diront ce que les mots ne suffisent plus à traduire : deux ans de captivité, d’humiliation et de faim dans les entrailles de la terre, pendant que la planète détournait le regard.
LA LIBÉRATION DES OTAGES NE SUFFIT PAS !
La justice seule rendra sens à la souffrance, dignité aux victimes, et honneur à l’humanité.
Les dirigeants du Hamas doivent être traduits devant un tribunal international, comme les bourreaux de Nuremberg. Pas pour venger mais pour protéger l’avenir.
Car l’impunité d’aujourd’hui, c’est le massacre de demain.
Ne pas juger le Hamas, c’est déjà trahir les otages. C’est dire à tous les monstres de demain : vous pouvez recommencer.
L’Histoire retiendra les visages de ceux qui ont su et n’ont rien fait, car sans justice, il n’y a plus d’humanité.
René TAIEB