Alors que le chanteur est visé par un boycott de la part d’un collectif propalestinien, la ministre de la Culture a pris la parole sur X pour dénoncer cet acharnement.
Rachida Dati monte au créneau. Depuis ce samedi 25 octobre, Amir est la cible de nouvelles attaques de la part du collectif propalestinien Urgence Palestine. Ce dernier appelle au boycott de ses concerts dont les dates s’étendent jusqu’à la fin 2025.
Dans un message publié sur X (ex-Twitter), et qui a depuis été supprimé, le collectif accuse l’artiste d’être un «complice et soutien des génocidaires» et réclame « l’annulation du concert d’Amir Haddad ».
Face à cet acharnement, la ministre de la Culture a pris la parole sur X pour défendre le chanteur franco-israélien. Elle estime que « la justice doit être saisie », au vu de la situation.
À l’heure actuelle, Amir n’a de son côté toujours pas pris la parole.
AMIR EN TOURNÉE JUSQU’À LA FIN DE L’ANNÉE
Ce n’est pas la première fois que l’ancien candidat de The Voice est visé par des collectifs propalestiniens.
Il avait déjà fait l’objet d’une campagne de cyberharcèlement, ses détracteurs lui reprochant notamment son service militaire dans Tsahal et sa participation à des événements liés à l’armée israélienne.



























