Les hôpitaux ont reçu l’ordre de ne pas introduire de hamets à Pessa’h – Horowitz n’intervient pas

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Dans l’ombre de la tempête à propos du ‘hamets qui a précédé le départ de la députée Idit Silman de la coalition, l’hôpital Shaaré Zédek (notre photo) a ordonné à ses employés de ne pas introduire de ‘hamets dans le centre médical à Pessa’h • Le ministre de la Santé Horowitz n’a pas l’intention d’intervenir par crainte de dissolution du gouvernement.

Ceci est contraire à la directive reçue à l’hôpital Hadassah et à la directive du ministre de la Santé Nitzan Horowitz aux hôpitaux de respecter la décision de la Cour suprême d’il y a deux ans de ne pas interdire l’introduction du ‘hamets dans les hôpitaux – directive à l’origine de la démission de la députée Idit Silman de la coalition.

Le « forum laïc » a demandé des éclaircissements à la direction, car cette directive violait une décision de la Haute Cour en la matière de 2020, qui interdit une telle interdiction.

L’hôpital a déclaré dans un communiqué: « N’apportez pas de ‘hamets à l’hôpital à partir de mercredi à 18h00 pour permettre à l’hôpital de se préparer pour Pessa’h. Le personnel est prié de retirer tout son ‘hamets de l’hôpital d’ici la fin de mercredi et de coopérer avec le gardes aux entrées ».

Il convient de noter que l’hôpital Shaaré Zédek n’est pas le premier, même à l’hôpital Hadassah Ein Kerem, ils avaient l’intention de demander aux employés de ne pas apporter de nourriture non casher pendant Pessa’h et de demander aux visteurs, par l’intermédiaire du personnel de sécurité, de ne pas apporter de ‘hamets dans le zone hospitalière.

L’hôpital Shaaré Zédek a déclaré en réponse à une publication dans « Vint »: « Shaaré Zedek dessert l’ensemble de la population de patients à Jérusalem de tous les secteurs et de toutes les religions et ethnies et continuera de le faire. Shaaré Zédek est fier de chercher depuis 120 ans un juste équilibre qui permet aux et aux autres de vivre côte à côte et non l’un au détriment de l’autre. C’est ce que nous avons fait ces dernières années et c’est ainsi que nous allons continuer, dans le respect de la loi et du public de nos patients. »

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