Yagil Yaakov, 13 ans, revenu de captivité, remercie D’ : « Tu m’as tellement renforcé. »

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Yagil Yaakov, l’adolescent qui a été libéré de captivité, a écrit sur son compte Instagram : « Créateur du monde, combien Tu m’as renforcé cette année, combien Tu m’as fait croire et espérer qu’au final, tout irait bien. Merci, Créateur du monde, pour le privilège d’être ici aujourd’hui. »

‘Harédim 10

Yagil, 13 ans, qui a été enlevé par le Hamas pendant Sim’hath Tora depuis le kibboutz Nir Oz, a partagé un post sur Instagram, où il apparaît avec une kippa sur la tête et remercie D’.

« Quand Yom Kippour est arrivé, je savais que c’était la meilleure période de ma vie. Créateur du monde, combien Tu m’as fait grandir cette année, combien Tu m’as fait croire et espérer que tout finirait bien, et finalement tout ira bien. Merci, Créateur du monde, pour le privilège d’être ici aujourd’hui. »

Yagil a été enlevé avec son frère Or, 16 ans, qui a été libéré en même temps que lui, mais leur père Yair (qu’Il repose en paix) a été assassiné en captivité par les terroristes du Hamas.

En septembre, Yagil avait partagé son expérience de rapprochement spirituel : « Quand on me demande souvent quel est mon lien véritable avec D’, je réponds que pendant ma captivité, ce qui m’a soutenu, c’était la foi que je n’étais pas seul, qu’il y avait Quelqu’un avec moi, cet Être suprême, Qui certes n’a pas pu/voulu me protéger de l’enlèvement, mais Qui m’a protégé tout au long de ma captivité. »

« Et c’est ce qu’on appelle la Providence divine, une providence que je pense avoir toujours ressentie auparavant. J’ai toujours senti sa présence à mes côtés, me protégeant de tous les dangers et obstacles. Quand je suis revenu, j’ai dit à tout le monde que je voulais commencer à porter une kippa et des tzitzit, et tout le monde s’est moqué de moi. Ils m’ont dit : ‘Es-tu devenu fou ? Quel rapport maintenant avec la kippa et les tzitzit ?' »

« Je leur ai dit que durant toute ma captivité, j’avais réfléchi à cela. C’était la période des seli’hoth (prières de pardon), et je sentais que j’avais beaucoup de choses pour lesquelles demander pardon. Je me sens aussi suffisamment connecté pour aller remercier, pour dire merci de m’avoir protégé de mes ennemis, de nos ennemis. »

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