Italie : prison pour les Italiens qui s’opposent aux réquisitions d’immeubles pour loger les migrants

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Face à l’afflux ininterrompu de migrants en provenance d’Afrique, et à la saturation des centres d’accueil, le gouvernement italien, au lieu de prendre des mesures pour arrêter l’invasion en cours, s’attaque au droit à la propriété privée et prévoit des peines de prison pour les récalcitrants…

Selon des sources du Ministère de l’Intérieur, le ministre Angelino Alfano se prépare à réquisitionner hôtels et immeubles à louer pour y héberger les migrants.
A Vérone, le préfet avait déjà réquisitionné l’hôtel de luxe « Cristallo di Castel d’Azzano », qui affichait pourtant complet, pour y héberger des migrants. Les touristes furent relocalisés dans d’autres hôtels de la ville et toutes les réservations ultérieures annulées.

« C’est une décision que nous subissons » ont déclaré furieux les propriétaires par l’intermédiaire de leur avocat.

Cette mesure entrerait en vigueur après le 5 décembre, soit après le référendum pour éviter que la protestation des citoyens puisse influer sur le résultat du vote. Ces hypocrites sollicitent les votes du peuple, qu’ils méprisent.
Ce sont les premières barricades de Goro et de Gorino contre la réquisition d’un hôtel pour y loger 15 « réfugiés », qui firent la une des journaux ces dernières semaines et mirent dans l’embarras le gouvernement, et inquiètent le ministre.

 

Les services secrets auraient déjà fiché les villes où les citoyens seraient susceptibles de s’organiser en comités pour s’opposer aux « réfugiés ».
Selon le journal «L’ Opinione », qui cite des sources du Ministère de l’Intérieur, l’exécutif serait prêt à prendre des mesures drastiques contre les citoyens qui s’opposeraient à la réquisition d’immeubles privés mis en location par leurs propriétaires, pour y loger les migrants.
En d’autres termes : prison pour quiconque s’opposera aux migrants ! Cette nouvelle démocratie à l’italienne doit plaire aux ennemis de la démocratie siégeant à Bruxelles.
Les services secrets, écrit le quotidien, auraient déjà averti le gouvernement de la possibilité d’éventuelles manifestations violentes d’Italiens qui ne sont pas disposés à céder leurs biens.
Le plan, « vu le caractère exceptionnel de l’évènement et le peu de volonté des Italiens à collaborer à l’accueil » consisterait à envoyer au moins 2.000 policiers, carabiniers, et soldats pour obliger les Italiens à coopérer. En outre, le ministère de la Justice promet de garantir des procès rapides avec des peines de détention à la clé pour les rebelles qui s’opposeraient au plan du ministère de l’Intérieur. Le régime communiste de partage et de confiscation de biens d’autrui semble s’installer en Italie avec le parti au pouvoir, le PD, qui n’a plus de démocrate que son nom, mais a la bénédiction du Pape rouge.
Il serait intéressant de savoir si les résidences secondaires des membres du gouvernement sont d’ores et déjà « réquisitionnées » pour y héberger des migrants ?
Et si une indemnité est bien prévue, du moins sur papier, elle restera fantomatique, car le ministère de l’Intérieur n’a plus les moyens de payer, tout l’argent étant utilisé pour l’accueil des migrants dans les centres gérés par la Coop et l’Onlus (coopératives et organisations à but non lucratif d’utilités sociales), qui selon les rumeurs se sucrent généreusement au passage.
Et clou douloureux supplémentaire, les propriétaires des biens réquisitionnés seraient tenus de continuer à payer l’impôt foncier (IMU) et les taxes (TASI) pour l’entretien municipal (nettoyage des rues, l’éclairage, etc.).
Les propriétaires pourraient certes recourir à la justice, mais ils devraient s’armer de patience pour obtenir un quelconque dédommagement, sans garantie de succès. Croire en l’impartialité de la justice italienne, tout comme ailleurs dans l’UE, relève d’une naïveté angélique.
La décision du ministre de l’Intérieur, qualifiée de « temporaire », pourrait se transformer en « expropriation permanente » si le propriétaire était accusé de « crime subversif » contre l’Etat, en d’autres termes, si ce dernier s’opposait à la réquisition de son bien. Il perdrait alors tout simplement sa propriété. Cela rappelle les méthodes de certains régimes autoritaires du passé…
Toujours selon des indiscrétions du personnel du ministère de l’Intérieur, ce plan de réquisition serait d’abord appliqué à Pescara, qui deviendrait ainsi la ville-pilote pour le reste de l’Italie. Grâce à ce plan de réquisition massif, environ 1.5 million de migrants pourraient être logés.
Pendant ce temps, sans travail et sans espoir, des milliers d’Italiens, dont de nombreuses familles avec enfants en bas âge, dorment dans la rue, comme à Rome, à proximité d’hôtels de luxe étoilés, dans des abris de fortune ou des tentes installées dans des camps pour réfugiés italiens dans leur propre pays !
N’est-elle pas belle, la future Europe multiculturelle ouverte à tous les vents contraires aux droits des Européens de souche ?
Seuls les biens à louer seraient concernés par ce plan, du moins pour l’instant…

Les oppositions à l’accueil des migrants dans les petites villes et communes se multiplient, d’où cette prise de décision inique anti-démocratique du ministre Alfano.
Suite à l’expulsion vers l’Italie de migrants d’autres pays de l’UE, conformément aux accords de Dublin, l’Italie se verra contrainte d’héberger le long de l’Adriatique environ 1.5 million de migrants économiques, majoritairement musulmans africains.
Selon de nombreux maires de villes et communes situées le long de la côte adriatique, ce plan du gouvernement sonnera le glas du tourisme. Entretemps, les services secrets enquêtent sur les citoyens de la région, pour essayer de découvrir s’ils ont l’intention de s’organiser en groupes de résistants.
On se croirait revenu à l’époque du fascisme.
Si les migrants continuent à affluer au rythme actuel, après la « réquisition » des immeubles à louer, le gouvernement exigera-t-il des propriétaires qu’ils accueillent gracieusement les « réfugiés » dans leurs maisons et veillent à leur bien-être, s’ils veulent éviter la prison ? Tout devient possible, même le pire des scénarios, quand un pays est gouverné par un parti qui n’aime pas ses propres citoyens et ne se soucie guère de leur sécurité, ni de leur sort.
A Rome, samedi dernier, des femmes, premières victimes des « réfugiés » ces richesses pour nos pays, manifestaient en tête d’un cortège de comités et de citoyens pour dire « NON » au nouveau centre d’accueil prévu dans leur quartier :

« Avec les migrants, nous sommes en danger. Il n’est pas facile de circuler le soir dans ce quartier. On se sent suivie, observée, menacée, ni les femmes enceintes, ni les femmes âgées n’échappent aux agressions. »

« Aucune sécurité, aucune liberté » tel était le slogan des femmes !
Elles marchaient le pas assuré de celles qui veulent reprendre possession de leurs rues, de leur quartier. Ces rues, qui avec l’ouverture d’un énième centre d’accueil et l’arrivée de plus de 250 migrants, vont devenir encore plus dangereuses et plus menaçantes, voire interdites aux Italiens.
Sous une pluie battante, les résidents du quartier défilèrent en chantant l’hymne italien.
Ces manifestations anti-migrants se multiplient à travers l’Italie à la grande consternation des bien- pensants, jusqu’au jour où la coupe sera pleine et débordera violemment.

Source : « Migranti, il ricatto di Alfano: carcere per chi si oppone alle requisizioni » Il Giornale/L’Opinione

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