C’est ce qu’a révélé la société israélienne Check Point après avoir mis en évidence une faille présente dans plus de 900 millions de téléphones portables.
Alors que les rabbanim – pour d’autres raisons, c’est vrai – ont été les premiers à souligner les dangers que représente l’utilisation d’un Smartphone, voilà que cette société israélienne, référence mondiale dans la sécurité des systèmes d’information, vient de prouver que deux tiers des appareils Android sont susceptibles d’être piratés.
Des failles ont en effet été décelées dans les composants Qualcomm systématiquement préinstallés sur les appareils lors de leur fabrication. Une vulnérabilité qui, si elle est exploitée par un hacker mal intentionné, peut lui permettre d’utiliser à sa guise les données du Smartphone en prenant possession à distance de l’un de ces appareils pour récolter des données personnelles ou les données sensibles de telle ou telle entreprise…
Même si ces failles n’ont pas encore été exploitées par des pirates, Mikhaël Shaulov, le responsable gestion des produits de mobilité chez Check Point a déclaré à la BBC : « Je suis quasiment certain qu’elles le seront dans les 3 ou 4 prochains mois ».
Le problème c’est qu’il est question de plus de 900 millions d’appareils concernés. Ainsi, parmi tous les appareils les plus convoités (Samsung, HTC, Motorola, LG, etc. et de tous les modèles : les LG G4, G5 et V10 ; pour Samsung, le Galaxy S7 et S7 Edge ; pour Sony, le Xperia Z Ultra ; le Google Nexus 5X, 6 et 6P ; le OnePlus 2 et 3, etc.), il n’existe aucune marque de Smartphone Android suffisamment sûre pour garantir à leur utilisateur une tranquillité absolue…
Baroukh Hachem !
