La reconnaissance de l’État palestinien sans contrepartie est perçue comme une victoire pour le terrorisme — c’est ce que Netanyahou n’a cessé d’affirmer. Dès lors, la libération des otages ne semble plus être une priorité. La seule urgence mise en avant est la prétendue famine à Gaza, dont les habitants sont considérés comme complices du Hamas.
Le Hamas a claqué la porte à l’accord qui était censé mettre fin à la guerre.
La source a ajouté : « Nous devons maintenant décider de la suite des événements dans la bande de Gaza. Il est hors de question que nous décidions de mettre fin à la guerre unilatéralement. » Une autre source a déclaré que « le Hamas a coupé tout contact et qu’il n’y a plus personne à qui parler. »
Négociations au bord de l’échec : Une source politique a déclaré à Israel Hayom ce soir (jeudi) que « le Hamas a claqué la porte à l’accord censé constituer un corridor pour mettre fin à la guerre ». La source a ajouté : « Maintenant, nous devons décider des prochaines étapes dans la bande de Gaza. Il est hors de question que nous décidions de mettre fin à la guerre unilatéralement. » Selon la source, « les États-Unis se sont également montrés réticents à l’égard des négociations depuis la manière dont les discussions ont été menées à Doha et avant la réponse du Hamas hier, qui a catégoriquement rejeté toute avancée. »
Une autre source politique a déclaré ce soir que « le Hamas a coupé tout contact et qu’il n’y a plus personne à qui parler ». Lors de la rencontre entre Netanyahou et Witkoff, qualifiée de « très fructueuse », les prochaines étapes à Gaza ont été évoquées. La réunion a duré plus de deux heures et tous ont convenu que le Hamas était responsable de la fermeture des négociations.
Entre-temps, la tendance est à l’extension des manœuvres dans la bande de Gaza – même si le porte-parole de Tsahal a annoncé aujourd’hui la fin des activités de la 98e division dans la bande de Gaza. L’envoyé spécial du président américain Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, reste pour l’instant en Israël et se rendra demain à Gaza – et tant qu’il sera dans la région, aucune décision radicale ne devrait être prise.
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