Le quartier général de la lutte attaque les responsables de la sécurité en Judée Samarie et exige que les armes soient rendues à Indor

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Au siège du comité de la lutte pour la libération d’Indore, on attaque les responsables de la sécurité dans les territoires de Judée et de Samarie en précisant : « Si ce département n’est pas fermé, la prochaine victime n’est qu’une question de temps » • Selon eux, « Maintenant, quand il sera clair qu’Indore était un héros, son arme doit lui être rendue immédiatement. »

JDN

Hier soir, le tribunal de district de Jérusalem a ordonné la libération de Ye’hiel Indore, qui a défendu sa vie et celle d’autres Juifs à Binyamin, dans le cadre de l’incident de Bourka, où un coup de feu a été tiré sur un Palestinien qui a été tué, dans le cadre de leur émeute contre les Juifs.

Au siège de la lutte pour la libération d’Indore, on attaque le comité de défense de Judée et Samarie et précise : si ce département n’est pas fermé, la prochaine victime n’est qu’une question de temps. « Après la grande pression publique et la manifestation de dimanche au cours de laquelle plus de 1 000 personnes sont spontanément sorties, le visage de ce comité s’est révélé. Les tentatives de contestation de la décision du tribunal, qui a ordonné la libération d’Indore, ont prouvé sans aucun doute que ce était un complot sanguinaire. »

Selon eux, « Maintenant, lorsqu’il est clair qu’Indore était un héros, son arme personnelle doit lui être rendue immédiatement. » Ils ont également ajouté que « les dommages causés à une telle victime de la part de ce comité sont énormes et leurs effets durent longtemps ».

Au siège de la lutte, les membres des médias, les membres de la Knesset et les commentateurs qui ont faillit faire couler le sang d’Elisha Yered et de Ye’hiel Indore sont appelés à s’excuser.

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