Lapid veut des discussions à condition d’un arrêt d’un an et demi des changements – la Droite réplique

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Le Likoud répond à Lapid : il est prêt à parler à Abou Mazen sans condition, pas avec nous…

Le Likoud a répondu aujourd’hui à la déclaration du chef de l’opposition Lapid selon laquelle il avait fixé une condition pour le retour aux négociations – une pause d’un an et demi dans les procédures législatives • « Lapid est prêt à parler avec Abou Mazen sans conditions préalables, mais pour le Likoud il établit une des conditions préalables aux négociations ».

JDN – Benjamin Berger

Le Likoud a réagi aujourd’hui (dimanche) à la déclaration du chef de l’opposition Yair Lapid selon laquelle il a fixé une condition pour le retour aux négociations – une pause d’un an et demi dans les procédures législatives. Le Likoud a affirmé qu’il n’y avait pas de place pour établir de telles conditions préliminaires.

Dans la déclaration du Likoud, ils ont piqué Lapid et écrit que « Yair Lapid est prêt à parler avec Abou Mazen sans conditions préalables, mais pour le Likoud, il établit une liste de conditions préalables aux négociations. Nous invitons Lapid à entamer des négociations aujourd’hui afin que nous puissions tous parvenir à un large accord. »

L’annonce du Likoud intervient après que Lapid ait évoqué plus tôt dans la journée la possibilité de reprendre les pourparlers sur la question de la réforme juridique, déclarant à la plénière de la Knesset que « le gouvernement parle de reprendre les pourparlers à partir du moment où la loi a été adoptée pour abolir la clause de raisonnable, il est dit « tu as assassiné et aussi hérité ». Comment sommes-nous censés te parler – ce que tu as maintenant prouvé qu’il est impossible de te croire ? » Selon lui, « la seule solution qui permettra un retour aux pourparlers est un gel de la législation. Le gouvernement et l’opposition devraient légiférer conjointement un gel de 18 mois, pendant lesquels les pourparlers auront lieu à la résidence du président ».

Lapid a affirmé que pendant le gel de la législation, il sera toujours possible de promulguer des lois concernant le contrôle juridictionnel et la séparation des autorités – « mais seulement avec une majorité des deux tiers, c’est-à-dire avec un véritable accord entre la coalition et l’opposition, et entre toutes les couches du peuple. » Il a ajouté : « Un tel gel faisait partie de l’accord que nous étions sur le point de signer, donc le gouvernement ne devrait avoir aucun problème à le signer. C’est aussi dans l’intérêt évident des membres de la Knesset du Likoud qui comprennent que cela ne peut pas continuer.

« Tant qu’il n’y a pas de gel de la législation, il n’y a ni intérêt ni logique à parler d’autres lois ou d’autres accords, car il est tout à fait clair que le gouvernement s’enfuira à nouveau à la dernière minute », a affirmé Lapid, qui a appelé Netanyahou : « Montrez que vous contrôlez votre coalition et que vous pouvez aussi prendre des mesures pour le bien du pays. Dès son adoption, cette loi revient dans le débat par une véritable volonté de réparer ce qui doit être réparé. »

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