Hier soir, lors des votes sur la loi du ‘Hametz, le ministre de la Justice Levin a été filmé en train de parler calmement avec les membres de la Knesset Kassif Karib • La Gauche est furieuse : « Ces gens qui vont contre lui et tweetent tout contre son groupe, mais maintenant ils ont trouvé le temps parler calmement ?! »
JDN – Benjamin Berger
Hier soir (entre dimanche et lundi) lors des votes sur la loi Hametz, le ministre de la Justice Yariv Levin a été filmé en train de parler avec désinvolture avec les membres de la Knesset Ofer Kasif et Gilad Karib. L’opposition s’est attaquée à cette image anormale.
« Les mêmes personnes qui se sont prononcées contre lui et ont tout tweeté contre son groupe, mais maintenant ils ont trouvé le temps de parler calmement. Tout le monde là-bas coopère avec le même agenda : diviser pour régner, salut et division, mais entre eux, ils entretiennent de bonnes relations », la gauche a attaqué la conduite de ces députés.
Ce n’est pas la première fois qu’un membre de la Knesset de la coalition et de l’opposition est pris dans l’œil de l’objectif en train de parler ensemble. Il y a quelques semaines, lors d’un débat houleux avant le vote de certaines des lois de réforme juridique, il y a eu un moment d’unité à la Knesset après que le député Boaz Toporovsky, qui a été blessé dans un accident de voiture il y a environ un mois et se trouve maintenant en voie de guérison, sont venus voter au plénum de la Knesset et ont également reçu des accolades des membres de la coalition et du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Malgré cela, les manifestants contre Netanyahu et la réforme ont été indignés par le bon moment. « S’il y a une chose, mais une chose qui fait baisser le moral de notre côté, ce sont les étreintes de nos représentants avec l’autre côté, les étreintes et les sourires pendant que les gens parcouraient des kilomètres et se raclaient la gorge devant la Knesset. Insondable et impardonnable. Un tas de perdants nous représentent, et ils finiront aussi par nous trahir », écrivait l’un d’eux.
Holala…
