Le rav Zilberstein et les vaccins

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Le rav Yits’hak Zilberstein et le chef du cabinet d’experts du programme Magen Israël ont discuté des vaccins contre le corona.

En présence de rabbanim et de médecins chevronnés, le rav Zilberstein a tenu une controverse médicale sur l’obligation de se faire vacciner contre le corona et sur la sécurité des vaccins qui arrivent en Israël ces jours-ci • Pr Ran Blitzer : Les vaccins ne sont pas destinés aux enfants.

L’arrivée des premiers vaccins contre le corona et l’attente du début de la vaccination ont provoqué un débat public animé sur la sécurité des vaccins et la nécessité d’une vaccination généralisée dans le grand public. Afin de gagner la confiance du public quant à la sécurité des vaccins, un événement extraordinaire de litige médical halakhique avec des médecins chevronnés et des rabbanim a été organisé par le Département de médecine et de Halakha de l’Association des scientifiques.

L’événement a eu lieu dans le cadre d’un cours mensuel halakhique pour les médecins donné par le rav Yitz’hak Zilberstein, rabbin du quartier de Ramat El’hanan à Bené Brak. De manière exceptionnelle, le professeur Ran Blitzer, chef de la division Innovation et du Clalit Health Services Research Institute, qui dirige l’équipe d’experts du programme Magen Israël, est venu également.

Ce cours médical spécial, qui a lieu une fois par mois, a également été suivi par des médecins expérimentés tels que le professeur Uriel Levinger, le Dr Zion Schlossberg, le professeur Ben Shlomo et d’autres médecins d’hôpitaux et d’organisations de sauvetage, ainsi que des membres supérieurs du département ‘Harédi de la Koupath ‘Holim Clalit, dont le rav Avraham Konsky, directeur du secteur ‘haréedi, directeur des communications marketing dans le département ‘harédi, le rav Moshe Rosengarten, directeur du secteur ‘harédi dans le district de Jérusalem et le rav David Schechter, chef de projet dans le district de Jérusalem de Clalit.

En introduction, le rav Zilberstein a expliqué les conclusions halakhiques qui permettent au médecin de déterminer les procédures médicales ainsi que les débats autour de la question des vaccins contre le corona. Le rav Zilberstein a présenté aux personnes présentes des consultations médicales halakhiques avec les rabbanim des générations précédentes, celles de nos jours avec le rav ‘Hayim Kanievsky (beau-frère du rav Zilberstein).

Après cela, le professeur Ran Blitzer a eu présenté sa position médicale sur les vaccins selon les différentes sociétés et la priorité à accorder à certaines parties de la population. Le professeur Blitzer s’est appuyé sur les sources halakhiques citées par le rav Zilberstein et a déclaré qu’il était nécessaire de diviser entre les types de populations et leur besoin de se faire vacciner.

« Nous ne parlons pas de la population d’enfants pour lesquels les vaccins ne sont pas du tout destinés. La première population à être vaccinée est la population adulte de plus de 60 ans et les patients atteints de maladies chroniques, qui sont à haut risque de mortalité coronarienne et devraient être vaccinés immédiatement car l’expérience et les données ont prouvé que le vaccin était efficace et ils devraient être vaccinés, ainsi que leur entourage âgé. »

Après que le professeur Blitzer ait soigneusement détaillé les données des études menées avant l’achèvement du vaccin, les composants du vaccin et les avis médicaux, les médecins qui ont assisté à la rencontre ont été invités à exprimer leurs opinions. Le professeur Levinger a précisé que bien qu’il n’ait pas été exposé aux données de la recherche, à son avis, la confiance du public devrait être acquise et les faits et les données du vaccin expliqués, afin que le public sache qu’il s’agit d’un vaccin efficace et sûr. D’autres médecins ont également présenté leurs questions et leurs positions médicales, le professeur Blitzer répondant à chacune des questions.

Le rav Zilberstein, qui a suivi et participé à toute la discussion entre les médecins, a exprimé son impression de la source de son esprit et des importantes explications du professeur Ran Blitzer et a conclu qu’il tâcherait de vérifier l’ensemble des arguments « pour arriver à une analyse juste, pour la Gloire de D' »…

NDLR : Cela semble dire que pour le rav Zilberstein, la plus haute autorité rabbinique dans le domaine médical de nos jours, le dossier n’est pas encore clos…

3 Commentaires

  1. Le vrai débat devrait être : allons nous injecter un produit qui n’est pas un vaccin mais une thérapie génique qui pourra entrainer un changement de notre ADN . Pour références sérieuses et sans conflit d’intérêt , écouter Alexandra Henrion Caude , spécialiste mondiale en immunologie . Elle confirme que :
    1- le « virus » est breveté donc pas naturel et peut permettre d’y introduire des « choses » !
    2- que c’est bien une thérapie génique donc on joue les « sorciers »
    3- que si c’était un vaccin , il faudrait au moins une dizaine d’années de recherche .
    4- qu’il n’y a aucune étude médicale sur ce que disent les laboratoires fabricants .
    Idem pour le Pr Raoult en France , et le Pr Perronne …
    Je me pose une autre question : pourquoi cette précipitation si soudaine ?

  2. À votre question finale, nous sommes « pressés » parce que le monde occidentale se meurt dans sa débâcle économique, et que les 10 années que vous pensez utiles peuvent être, dans l’urgence médicale, très réduites avec la technologie actuelle.
    Auriez-vous demandé des tests sur les chaloupes de secours du Titanic pendant le naufrage ?
    Quant à la dame que vous citez, certes avec un cursus prestigieux…elle a sombré, elle aussi, dans son délire…

    https://www.lci.fr/sante/virus-manipule-par-l-homme-danger-des-masques-l-inserm-se-desolidarise-d-une-de-ses-ex-chercheuses-2166208.html
    ‘Hag’ Hanouccah Sameah’

    • Pressés par autre chose, par les nombreuses victimes du corona, d’un côté, et de l’autre, par les responsables honnêtes et sérieux des divers pays concernés… Maintenant que les angoisses s’y mêlent, c’est clair.
      Pour notre part, ajoutons-le, les rabbanim réservent leur diagnostic, et attendent de voir les résultats effectifs et surtout, les réactions que ce vaccin peut provoquer, avant d’indiquer de se faire vacciner à tout prix.

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