Le TGV Jérusalem-Tel Aviv : ouverture prévue début 2019 (si tout va bien…)

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La ligne à grande vitesse dont les travaux ont débuté en 2001 et qui reliera Tel Aviv à Jérusalem en 28 minutes n’entrera pas en fonction pour les vacances de Souccot comme promis par le ministre israélien des Transports, Israël Katz. Retardé déjà deux fois, le train à grande vitesse ne devrait commencer à fonctionner qu’au début de l’année 2019 et peut-être même plus tard….

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et le ministre israélien des Transports Israël Katz  Photo: Amos Ben Gershon

Déjà lors d’une conférence de presse en août 2016, le ministre des Transports Yisrael Katz avait promis de tenir les délais. Pas plus tard qu’à la mi-janvier 2018, Katz avait posté sur les médias sociaux: «J’ai promis et j’ai tenu ma promesse ! A l’approche de Pessa’h (ndlr la Pâque Juive), le train à grande vitesse entre Tel Aviv et Jérusalem entrera en fonction et le voyage durera 28 minutes… il sera gratuit, comme promis pendant les trois premiers mois».

Puis pour des raisons de sécurité, (le contrôleur de l’État ayant  averti que la construction hâtive pourrait mettre en danger des vies humaines, les travaux  encore en cours sur les voies et les systèmes de communication  toujours pas au point dans les différents tunnels), la mise en fonction a encore été retardée et promise pour le 23 septembre 2018.

Mercredi dernier, le ministre israélien des Transports Israël  Katz a confié à ‘Hadashot que le train circulera bien comme prévu dès le 23 septembre mais attention, uniquement de Jérusalem jusqu’à l’aéroport Ben Gurion. Le reste du tronçon (et c’est le plus important) ne sera mis en service qu’au début de 1919 ou peut-être même plus tard, a-t-il indiqué. Nous sommes loin des promesses successives du ministre…

Cela fait maintenant presque 10 ans que les travaux sur la ligne à grande vitesse Jérusalem-Tel-Aviv ont commencé. En outre, le projet, de 11 milliards de shekels, a souffert d’innombrables retards, d’une absence de planification globale ainsi que de l’absence d’une étude de faisabilité économique de la part d’Israël Railways.

Source www.tel-avivre.com

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