Les habitants de Gaza sont abasourdis de voir des chars israéliens dans les rues

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Les mensonges du Hamas leur ont été brisés au visage : les habitants de Gaza sont abasourdis par les chars dans les rues.

Les habitants de la bande de Gaza qui ont choisi de croire à la fausse propagande de l’organisation terroriste Hamas, selon laquelle ils réussissent à arrêter l’avancée de Tsahal et que l’armée n’est présente que dans des « zones molles », expriment leur étonnement sur les réseaux sociaux face aux photos. des chars à une courte distance du quartier général du Hamas

JDN

Aujourd’hui (vendredi), les Palestiniens diffusent sur les réseaux sociaux des documents vidéo et des photos de chars israéliens dans les rues de la ville de Gaza, à proximité des hôpitaux et à une courte distance de l’hôpital Shifa, où le Hamas a installé son siège central.

Le blogueur qui se fait appeler « Abi Ali », qui suit ce qui se passe sur les réseaux arabes et en rapporte des informations fiables, écrit que « les photos des chars israéliens dans le quartier de Netzer ce matin et près de l’hôpital A-Rantisi tremblent ».

« Ils font de nombreuses réclamations contre les médias officiels du Hamas, qui cachent l’avancée des forces israéliennes pour ne pas montrer leur chute, et les Palestiniens sont alors obligés de se réveiller à la vue des chars au milieu de la ville de Gaza. »

Abou Ali explique que « les chaînes officielles du Hamas, notamment celles de la branche militaire, mentent sur des dizaines d’outils qu’elles détruisent chaque jour pour le compte de Tsahal. Ces mensonges sont repris par les médias arabes pro-Hamas (y compris les plus importants) et créent une image différente pour leurs consommateurs. Alors se réveiller avec un tank sur la maison peut être surprenant… »

« Des hauts responsables du Hamas affirment également dans des entretiens avec les médias que Tsahal n’a fait aucun progrès depuis l’entrée terrestre, mais a seulement capturé des « zones molles » (zones molles) qui n’ont aucune signification militaire », et c’est pourquoi il écrit que « les terme « zones sensibles » est devenu l’une des plaisanteries amères des habitants de Gaza en deux jours, ces derniers après que la réalité les a heurtés puissamment. »

 

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